L’Homme […]

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Dr. Madeline Davis

L’Homme […]

L’Homme, conscient de sa propose finitude, de l’absurdité de son existence, se voit créer et à adhérer à diverses croyances afin de supporter sa vie rongée d’incertitudes et d’affliction que peut causer cette trop grande lucidité. L’Homme semble être prédisposé aux croyances, celles-ci, étant un cache-misère à la dure réalité de la vie réelle. Celle de la mort totale. Du néant absolu que la mort nous donnera. Du non-sens de la vie, de l’absurdité de celle-ci. L’Existence, n’est qu’un simple souhait de la Nature, son souhait étant de faire subsister la vie du vivant. Nous ne sommes que la volonté de la Nature, des êtres dénués de sens, errant sur la Terre à la recherche de sens, vainement.

Philosophie d’Albert Camus.

(Discours d’un nihiliste) :
«vie est inutile. Nous allons tous, inéluctablement trépasser. Ce qui rendra tout ce que nous avions fait, effroyablement inutile. Tout est voué à disparaître. La peur de la mort, mécanisme, instinct de survie, enchaîne les Hommes. L’Existence, cette chose dénuée de sens. Pourquoi donc bon sang de Dieu, la Nature daigne cela ? Pourquoi donc sommes nous tous voué au but ultime ? Se perpétrer, à quoi bon finalement ?»

«Le plaisir n’est qu’illusion. Nous ne sommes libres.
Nous sommes le serf de notre cerveau ayant succombé aux menant de la Volonté, qui lui, à tous les monopoles. Lui, ne songe qu’à une chose, à son but ultime, la perpétuation de l’espèce. Toutes fioritures servant d’enjollivement à la dure réalité n’est qu’illusion et ne détourna en rien la Vérité de la dure réalité. Ce que nous croyons n’est la Verité, car la Verité est immuable, non telle que la croyance. Croire n’est qu’un ardeur désir d’orner d’or et de perles un arbre périmé, emplit de mytes, d’humidité et d’affreuses bestioles le rongeant peu à peu. Chimères, impostures, illusions, mensonges, biais cognitifs, fabulations, aveuglements, que d’erreurs commises par l’animal penseur parfois encore trop stupide pour accepter sans nier la réalité qui lui est atroce. Celle disant : nous sommes poussière et redeviendrons poussière. La Vérité, nous la cherchons tous, pourtant, nous la détournons par lâcheté. Cependant, elle est simple, mais surtout raisonnée. Nous sommes voués à la mort. À l’absence de vie. Celle qui nous pétrifie, nous y viendrons. Notre conscience nous ai maudite. Celle nous éprouvant, nous affligeant. Rien. C’est ce dont nous sommes par essence même. Nous aimons, les chimères et l’aveuglement, car cela nous permet tout bonnement de suivre notre cours sans souffrance en vu du but ultime. Les croyances sont la Volonté de la Nature. Nous aimons, cherchons, le plaisir, le plaisir, ce malin stratagème de la Nature nous permettant d’oublier l’atroce réalité.»

Pourtant, Albert Camus comme beaucoup d’autres philosophes existentialistes athées et nihilistes random tel que Schopenhauer où Freud, affirment le néant après la mort sans preuves. Sans preuves, il en est exact, car, afin d’affirmer une chose, il nous faut obligatoirement des preuves fiables, solides, car autrement, nous n’avons absolument aucune raison de croire en l’existence de cette chose en question. Hors, ces philosophes n’en donnent aucunement. Ces philosophes dénigrent les croyances qu’ils considèrent comme non porteurs de preuves notamment quant à l’existence d’une entité supérieure, pourtant, ils font de même.
Néanmoins, sur la question de "l’après mort", nous n’aurons probablement aucune preuves. Alors, la demande de preuves à propos de ces philosophes devient donc absurde.
Il conviendrait de juger la justesse de leurs propos sur le caractère raisoné de ceux-ci ; En se demandant notamment si ces idées sont plus raisonnées qu’une croyance théiste.

-Le nihilisme se repose sur l’ilimination de toutes les croyances, jugées telles que faussées. Après cette ilimination, l’idée du néant après la mort advient. Le nihiliste se voit donc emputé de toutes ses illusions et devient donc conscient de l’absurdité de la vie et de l’étendu de son malheur-
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