Sainte Marie
Posté : 01 nov. 2022, 13:52
Je ne sais pas si ce que je voudrais évoquer est bien à sa place dans cet espace, mais c'est celui le plus approchant pour ce que je souhaite exprimer, bien que je vais écrire sur un sentiment, une émotion, qui n'a rien à voir avec un enseignement ou une conviction religieuse.
Puisque aujourd'hui on fête tous les saints, j'ai envie de vous parler de mon attachement à Marie, de cette sensation étrange qui me parcours chaque fois, la croisant lors de la visite d'une église , ou bien à l'occasion d'une traversée de village où on la voit comme protectrice, ou même plus simplement à l'évocation de son prénom lors d'une lecture.
Cette sensation, que je ressens autant intellectuellement que physiquement, j'ai parfois le sentiment de la porter en moi depuis toujours, et bien sûr en grandissant je me suis bien souvent interrogée, essayant de comprendre ce qui n'est peut-être pas compréhensible à hauteur de la pensée humaine.
Le hasard, ou peut-être l'inconscient de ma maman, m'a fait naître un 15 août, plus tôt que prévu, et derrière mon prénom se trouvait déjà Marie.
Je suis très sensible à diverses énergies. Celles de la nature, celles de certains humains, celles lointaines mais si fortes de la lune, toutes me semblent naturelles et compréhensibles car ce sont des énergies sensitives, mais Marie c'est bien sûr autre chose.
C'est pour moi comme un modèle inspirant, la fille, la femme et l'être humain que je souhaite être. Marie est porteuse naturelle de ce modèle, c'est la beauté pure, elle est rassurante.
Quand mon esprit s'égare, quand je me perds un peu, quand je souhaite très fort quelque chose qui me semble presque illusoire, quand la peur ou le chagrin m'agressent, si maman ne peut être à mes côtés c'est bien instinctivement vers Marie que mes yeux se dirigent, l'une et l'autre étant quelque part les mêmes.
En étudiant l'histoire de l'art j'ai plusieurs fois approché celle des religions, il y a entre les deux un lien qui remonte à des millénaires, et c'est un peu la même sensibilité qui dans mon esprit les relie si fortement, et puisque les arts sont l'émergence de ce qu'il y a de plus profond chez l'humain il n'est pas étonnant d'y retrouver si souvent Marie.
Alors ce soir avant de dormir je chercherai sûrement ce sentiment que peut-être maladroitement j'essaie de partager ici. Je ne le comprendrais pas plus qu'hier ou que demain, mais je le ressentirais et cela me suffira.
Maly.
Puisque aujourd'hui on fête tous les saints, j'ai envie de vous parler de mon attachement à Marie, de cette sensation étrange qui me parcours chaque fois, la croisant lors de la visite d'une église , ou bien à l'occasion d'une traversée de village où on la voit comme protectrice, ou même plus simplement à l'évocation de son prénom lors d'une lecture.
Cette sensation, que je ressens autant intellectuellement que physiquement, j'ai parfois le sentiment de la porter en moi depuis toujours, et bien sûr en grandissant je me suis bien souvent interrogée, essayant de comprendre ce qui n'est peut-être pas compréhensible à hauteur de la pensée humaine.
Le hasard, ou peut-être l'inconscient de ma maman, m'a fait naître un 15 août, plus tôt que prévu, et derrière mon prénom se trouvait déjà Marie.
Je suis très sensible à diverses énergies. Celles de la nature, celles de certains humains, celles lointaines mais si fortes de la lune, toutes me semblent naturelles et compréhensibles car ce sont des énergies sensitives, mais Marie c'est bien sûr autre chose.
C'est pour moi comme un modèle inspirant, la fille, la femme et l'être humain que je souhaite être. Marie est porteuse naturelle de ce modèle, c'est la beauté pure, elle est rassurante.
Quand mon esprit s'égare, quand je me perds un peu, quand je souhaite très fort quelque chose qui me semble presque illusoire, quand la peur ou le chagrin m'agressent, si maman ne peut être à mes côtés c'est bien instinctivement vers Marie que mes yeux se dirigent, l'une et l'autre étant quelque part les mêmes.
En étudiant l'histoire de l'art j'ai plusieurs fois approché celle des religions, il y a entre les deux un lien qui remonte à des millénaires, et c'est un peu la même sensibilité qui dans mon esprit les relie si fortement, et puisque les arts sont l'émergence de ce qu'il y a de plus profond chez l'humain il n'est pas étonnant d'y retrouver si souvent Marie.
Alors ce soir avant de dormir je chercherai sûrement ce sentiment que peut-être maladroitement j'essaie de partager ici. Je ne le comprendrais pas plus qu'hier ou que demain, mais je le ressentirais et cela me suffira.
Maly.