Récit Erotique

Un sujet tabou mais intéressant dans le partage. Poste ici tout ce que tu n'as jamais osé demander...
Verrouillé
Alexandrine Champlin V

Récit Erotique

La Tentation d’Alexia…..
(Récit fantasme)

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Résumé : Un homme…..Une femme…..Une salle d’attente…….Des regards fuyants puis appuyés…… Une attirance physique……..Soudaine……… Réciproque……. Le cocktail idéal pour une liaison sans lendemain, sans promesse.


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Il me contemple de ses yeux azur depuis vingt bonnes minutes, juste en face de moi, dans cette salle d’attente où nous sommes seuls, lui et moi. Je n’avais pas prévu de consacrer mon après-midi à cette signature chez mon notaire, mais je dois bien avouer que patienter dans ces circonstances est bien plaisant.



Evidemment, je fais tout pour ne pas croiser son regard. En même temps, je ne résiste pas totalement. Si je me fais griller et que nos yeux, nos regards se connectent, je baise la garde immédiatement. Je ne veux pas qu’il me prenne pour une femme facile en mal de sensations fortes…..ou douce……ou les deux à la fois.



Bel homme, la quarantaine, un sourire ravageur, je ne me laisse pas intimider. Je regrette juste d’avoir mis une jupe courte plissée qui me dénude mes cuisses. Ses yeux se posent alternativement sur les miens, et sur mes jambes nues. J’ai l’impression qu’en ce qui le concerne, rien d’autre n’existe dans cette pièce.



Même si ma conscience me l’interdit, je me sens attirée par cet homme qui arrive à me séduire d’un simple regard. J’ai beau me raisonner, mon esprit est troublé…et je dois bien me l’avouer, pas seulement mon esprit.



Mon esprit s’interroge « est-ce l’embarras créé par cette situation qui me perturbe à ce point ? ». « Embarras », étonnamment ce mot décuple mon émotion….. « L’excitation » est plus conforme aux sensations qui traversent mon esprit et mon corps. Mon bas-ventre est en fusion, la chaleur se propage jusque dans mon sexe, dans mes reins, dans ma poitrine, je suis chaude de partout.



Soudainement, je le dévisage avec insistance6 et décide de ne plus baisser les yeux. Un délice autant qu’une torture qui ne fait qu’accroître mon désir. Je devine dans son profond regard bleu, que si je joue avec le feu, je peux rapidement me brûler. « Brûler…, de douleur ou de plaisir ? ». La question me déstabilise encore plus profondément au point que mon corps tout entier, que nom intimité réclament l’improbable. Mes pensées s’entremêlent, mon envie devient folle.



Stop ! Maître, au secours ! C’est impératif, vital, urgentissime. Venez me libérer de mes pulsions, venez me rendre ma liberté, ma sérénité ! c’est dans ce contexte où mon esprit vacille, dans cet ambiance déroutante que mon notaire arrive. Après s’être adressé à moi, en m’appelant par mon prénom, mon notaire invite mon tortionnaire à le suivre.



Alors que je sors juste de sa domination mentale et que j’essaie de retrouver mon calme et mes esprits, mon imagination se détraque. Je me vois entrer dans le bureau sans frapper, aller directement rouler une pelle d’anthologie à mon inconnu. Je me vois lui prendre la main et la faufiler sous ma jupe afin qu’il puisse écarter mon string trempé pour jouer avec ma chatte trempée. Le forcer à insérer ses doigts dans mon antre en fusion. L’obliger, le supplier de me prendre en levrette à même le sol comme une……



C’est le bruit de la porte de la porte du bureau de mon notaire qui m’extirpe de mon rêve salace. Maître GILET raccompagne l’inconnu vers la sortie. Sur le parcours, ce dernier ne manque pas de me décrocher son regard le plus admirable et profond. Son pouvoir est hypnotique et il le sait.



Cet homme détient une gamme de regards qui va du respect à l’envie. Il est un authentique piège charnel et sensuel. Un bref échange de salutations et la porte se referme sur un frisson qui me déchire le ventre. Je suis enfin libérée de sa domination érotique et de ma faiblesse inhabituelle.



Troublée, flageolante sur mes jambes, je suis mon notaire dans son bureau et prends place. La lecture et la signature de l’acte ne me prennent que dix minutes, les dernières formalités accomplies, maître GILET me raccompagne à la porte.



A la sortie de l’immeuble, ne sachant pas quelle direction prendre, je contemple la rue et son environnement autour de moi….. Stupeur ! Emoi…. Etourdissement….. Tachycardie ! Mon bellâtre est là, sur le trottoir d’en face, à l’ombre d’un vieux platane centenaire du square. Il me regarde, me fixe avec une intensité qui me fait perdre la raison.



Prise au piège de son attirance physique, prise en embuscade par ma propre volonté, enfermée comme une idiote dans une provocation qui se retourne contre moi, je traverse la rue en sa direction, sans savoir quel message je lui adresse.



Le temps que je le rejoigne, mon cerveau cogite plus que de raison. Ma conscience me parle, elle m’alerte sur les conséquences de mon acte, que si je ne dévie pas ma route, il me baisera tôt ou tard. Complétement envoûtée, faisant abstraction des alertes reçues, je vais vers lui et sens le délicieux piège se refermer définitivement sur moi.



Arrivée à sa hauteur, son sourire s’élargit et me demande immédiatement de le suivre en m’appelant par mon prénom. Incapable de dire non, de lui tenir tête, je m’exécute. Mon cœur s’accélère, je me sens rougir, je suis au bord de l’explosion, lorsque nous sommes devant ce petit hôtel. Sans hésitation, il s’y engouffre.



Clairement sous l’emprise de cet homme et la raison aux abonnées absentes, je le suis. Nous passons devant la réception sans même nous arrêter. La jeune femme derrière le comptoir nous regarde passer sans dire un mot, sans faire un geste. Stupéfaite à l’idée de savoir qu’il possède une clé de chambre, je ne me dérobe pas face aux évènements qui jouent contre moi.



Dans la cabine d’ascenseur trop étroite, nous sommes collés l’un à l’autre. Légèrement plus grand que moi, je lui fais face. Nous nous regardons, sans dire un mot. Son parfum atomise le peu de lucidité- qui me reste. Je veux parler, lui parler, il m’en empêche en posant ses lèvres sur les miennes.



Déferlante de sensations dans mon corps, je suis électrisée. Il est beau comme un dieu, embrasse tel Eros. Sa bouche caresse la mienne sans trop de pression, en un frôlement lascif, il fait naître dans mon bas-ventre des picotements que je connais trop bien.



Il s’égare, va délivrer un doux baiser juste sous le lobe de mon oreille, puis revient à son terrain de jeu initial. Le contact est plus affirmé, il mord ma lèvre du dessus, sa langue cherche un passage que je lui concède. Je le laisse envahir ma bouche, je l’accueille chaleureusement. Une jouxte sexuelle débute dans ma tête, elle est précise, limpide.



La cabine stoppe sa course, s’arrête après quelques soubresauts. Il me précède, cherche la porte correspondante à la clé qu’il sort de sa poche. Il déverrouille la porte, s’efface pour me laisser entrer, referme à double tour derrière nous en laissant la clé dans la serrure.



La chambre est spacieuse, moderne, bien agencée. Je m’approche de la fenêtre, le paysage est magnifique, le jardin des tuileries avec ses arbres bien feuillus est un enchantement. Je prends mon temps pour admirer, contempler le tableau qui s’offre à moi.



J’appréhende de me retourner, de lui faire face, d’affronter son regard. Me sentant incapable de la moindre initiative, je souhaite, désire profondément qu’il fasse le premier pas, qu’il vienne se plaquer contre moi, qu’il soit audacieux, entreprenant, directif.



Je laisse quelques secondes s’écouler, sans bouger, sans rien dire, puis me retourne. Assis sur un des fauteuils, il me contemple6 au lieu de me sauter dessus et de me prendre sauvagement. Je le trouve beau, sensuel à croquer. certaine de pouvoir mettre un terme, sans ombrage, à n'importe quel moment, j'ai totalement confiance en lui/ et à sa surprenante façon de faire.



Nos regards se jaugent, l’affrontement de nos yeux se prolonge dans un silence enveloppant. Brusquement, un départ de feu chauffe mes joues. Plus les secondes, plus les minutes passent, plus son emprise sur moi est une évidence. Petit à petit, je sens que toutes mes défenses s’évaporent au contact de cet homme, de cet inconnu, qui me domine d’un simple regard.



Toujours debout devant lui, il m’ordonne d’enlever mon blouson. Abasourdie par son ordre, je réalise avec stupeur que la fuite ne fait plus partie de mes hypothèses. Je le regarde droit dans les yeux, joueuse et provocante, je quitte mon blouson et le jette sur le second fauteuil.



Continuant sa provocation, il me demande, avec une intonation de voix suave de retirer mon chemisier. Sous son regard appuyé et ses directives, mon sexe s’inonde. Les picotements survenus dans l’ascenseur se transforment en vibrations internes qui massent mes lèvres et le petit bout de moi qu’elles recouvrent à leur pointe de jonction.



N’ayant plus aucun argument de réflexion, je suis à lui. J’aime cette perspective d’abandon absolu. Résignée à sa domination mentale et physique, je défais un à un les boutons en regardant mes doigts tremblants d’excitation et mon chemisier termine sa course sur mon blouson.



Mes petits seins ne sont plus protégés que par mon soutien-gorge 85 B, noir, à bretelles étroites et dentelles fines. Après avoir mis mes mains dans mon dos comme demandé par mon bourreau, ce dernier m’observe, prend son temps, inspecte chaque centimètre de mon corps. Très excitée par la situation, mon sexe et mon esprit sont torturés d’envies. Je veux, désire, qu’il me prenne, qu’il me défonce, qu’il me saillie.



Lorsqu’il me demande de virer ma jupe, l’effrontée, l’insolente que j’étais capitule en une docile soumise. Je dézippe la fermeture, laisse tomber le vêtement sans le ramasser. Presque nue devant mon tortionnaire que je ne connais pas, mon cœur est au bord de l’explosion. Je n’ai qu’une envie, qu’une obsession…… qu’il me BAISE !! Sans ménagement. Je veux être sa chose, son vide couille.



Grisée par ce sentiment qui se transforme en une irrépressible exigence, je sais, je suis consciente qu’il peut tout me demander, qu’il peut faire de moi ce qu’il désire. Qu’il peut absolument tout me faire, tout ce qui lui passera par la tête, qu’il peut assouvir ses plus basses envies, ses désirs les plus sombres. Il est un aimant diaboliquement érotique, sexuel.



Mon bel inconnu se lève enfin, tourne autour de moi. J’imagine qu’il échafaude des scénarios, des schémas qui ne vont pas manquer de se dérouler dans les minutes à venir. Juste derrière moi, je sens son regard se poser sur moi, sur mon cul, mes fesses. Il profite de la vue que je lui offre. Une goutte de cyprine s’échappe de mon intimité, je la sens dégouliner lentement à l’intérieur de ma cuisse. Les secondes qui passent rendent mon attente insupportable.



A sa demande, je dégrafe, dégage lentement, sensuellement les bretelles et laisse tomber mon soutien-gorge. Naïvement, pudiquement, je couvre ma frêle poitrine de mes mains, mais mon amant m’ordonne de retirer mon string.



Je m’exécute, en faisant le maximum pour ne pas me pencher en avant. Alors que je fais deux pas pour me libérer de ma jupe, de mon string et que je commence à tourner sur moi-même pour dévoiler mon corps à mon bel inconnu, il me stoppe dans ma manœuvre. Il m’ordonne sèchement d’avancer jusqu’au tapis, de me placer à quatre pattes, cuisses écartées.



Sous cette injonction tant espérée, je sens mon liquide intime s’échapper. Mon émoi est total, profond. Je suis sous en emprise, sensation délectable et émouvante. Je me rends compte, face à cette évidence si troublante, si bouleversante, que….. J’aime ça.



A genoux, je prends quelques secondes puis me penche, pose mes coudes sur le tapis et ouvre légèrement mes jambes. Visiblement cela n’est guère à son goût. Il vocifère sur un ton autoritaire, de m’ouvrir plus largement et d’abaisser mon corps afin qu’il puisse admirer mon intimité.



J’écarte encore mes jambes. Mes seins touchent le sol. Mon supplice est total, je me sens défaillir. L’intérieur de mes cuisses est trempé. Mes tempes bourdonnent, mes pulsations cardiaques augmentent. Mon ventre se creuse d’impatience. Mes tétons pointent d’envie et de désir. Je suis à la limite du raisonnable, je ne peux plus rien lui refuser. Follement éprise de cet homme, je lâche dans un gémissement….. Baisez-moi !



Je l’entends bouger. Sa chemise tombe devant mon visage, son pantalon, son boxer, ses chaussettes suivent rapidement. Il est nu. J’ai envie de le voir, de le toucher, de le prendre, mais je sais qu’il n’acceptera pas et je veux ma délivrance. Je désire ses mains sur mes hanches, son sexe en moi.



Je sursaute légèrement à un contact doux et suave. Mon entrecuisse est visé, ma vulve sollicitée. Sans savoir avec quoi il accoste mon corps, je me concentre sur ce que ma chair ressent sur ses privautés. Ça côtoie à peine, ça frôle, c’est subtil et chaud. Petit à petit, la pression se fait plus forte, je sens mes lèvres vaginales attentives à ce contact si enivrant.



Le salaud joue avec moi et me sens, m’informe qu’il va me prendre, me baiser, me féconder, me remplir, que ma jouissance sera forte, que mes orgasmes me laisseront chancelante, mais que seul son sexe me touchera, que mon supplice ne fait que commencer, que lui seul décide.



Trempée comme je suis, il n’éprouve aucune difficulté à aller et venir, de bas en haut, de droite à gauche et inversement sur et dans mon sillon vulvaire. Il bouge l’extrémité de sa verge avec une faible amplitude, pour être toujours au contact de mon clitoris, qui profite de l’aubaine. Mon tortionnaire s’attarde sur mes petites lèvres. Mon plaisir est sans fin, des râles sortent de ma gorge. Je ne contrôle plus mes gémissements.



Sur une fin de course ascendante, mon bel inconnu s’arrête. Je le sens à l’orée de mon sexe trempé. Il est immobile, attend. Le point de non-retour est atteint. Je suis folle, hystérique, en fusion. Mon vagin est en attente d’une investiture, il a faim. Ivre d’excitation, sous l’emprise d’une pulsion que je ne contrôle pas, je cède la première.



J’entame un léger mouvement vers l’arrière, pratiquement imperceptible. Son gland capte mon désir, mon envie de l’engloutir, de l’avaler. Mon amant ne bouge pas, il résiste pour mon plus grand bonheur. Je suis ébranlée par la pression qui augment à l’entrée de mon vagin. Je soupire, halète d’extase.



Je prolonge le mouvement de mon bassin en me cambrant outrageusement. Je mène à ma guise la pénétration de son sexe. J’avance encore et encore vers la plénitude. Mes sens s’affolent, mon vagin se dilate pour absorber ce membre que je devine être d’une taille hors norme.



Je recule encore, attends que mes fesses touchent son ventre. Il est enfin en moi, de toute sa longueur. Mon sexe est rempli comme jamais. Mes entrailles sont bousculées, je sens son gland fouiller le fond de ma caverne. Je mouille abondamment, râle ouvertement. Je sens les prémices d’un orgasme éblouissant m’envahir.



Sous l’injonction de mon inconnu, je tourne la tête à droite. Un miroir est fixé au mur. Je suis saisie par l’image que j’y vois. Je suis là, les seins à même le sol, les fesses à l’air, embrochée sur son sexe. Je me trouve belle, audacieuse, offerte et en même temps si décadente, indécente. Lui à genoux derrière moi, les mains dans le dos, scrute ma croupe empalée avec un délice pervers qui se propage dans mon intimité.



Je me regarde à onduler des fesses, à aller et à venir sur cette majestueuse queue. Je baise son sexe, je me baise sur son sexe. Je regarde, observe son mandrin couvert de mes sécrétions sortir et rentrer en moi avec une aisance démoniaque. Je contracte mes muscles vaginaux, emprisonne son glaive qui masse mon intérieur. Il grogne littéralement sous les effets accumulés de mon plaisir. Je sais, je sens que la déflagration qui va de souffler est imminente. Mes muscles tremblent, ma vue se brouille, je perds la notion de mes sens, tout danse autour de moi. Je ne me retiens plus. Face au spectacle du miroir, je pars. L’explosion est puissante, ravageuse, la jouissance est totale, sévère, profonde, violente. Mon orgasme, si salvateur, me renverse, me tétanise.



Alors que mon corps s’apaise, ses mains se posent sur mes hanches et me tire délicatement vers lui. Il pénètre, dans mon bas-ventre, des endroits encore inondés. Mes spasmes reprennent, ma gorge est de nouveau sèche. Il lime, abuse de mon fourreau. Le salaud se fait plaisir à me prendre fortement, sauvagement, bestialement.



Plus rien n’existe autour de moi, hormis cette queue qui ravage mon intimité. Je subis avec délice ses puissants coups de reins. A chaque poussée, il propulse son sexe au fond de ma grotte. Il me baise comme je le désire, avec une ardeur folle, avec une frénésie dantesque. Mon esprit dévisse à nouveau.



Je me donne, me livre, sans remords, sans scrupules à cet inconnu, comme jamais je me suis offerte à un homme. Il utilise mon vagin comme bon lui semble, mon antre est à sa disposition. Son pieu coulisse en moi avec une aisance folle. Il m’arrache des cris de plaisir. Je me tords, me contorsionne sous la houle et la chaleur qui enivrent mon corps, ma poitrine et mes reins. Je suis une poupée sexuelle, sa poupée.



Ses bourses cognent contre mes fesses. Son rythme, sa cadence me font partir vers un second orgasme plus absolu. Agrippé à mes hanches, il me besogne ardemment. Le plaisir me submerge, je perds la tête. Je suis envahie par une déferlante dévastatrice. Je sens son sexe gonfler encore et encore en moi. J’imagine, je sens, je perçois, la sève qui monte le long de cette affolante tige ancrée dans mon vagin.



Il pourfend mon vagin, éructe sa victoire, grogne son plaisir. Il lutte contre l’imminente délivrance qui l’anime. About de force, il se cale au fond de moi et libère sa semence chaude en plusieurs longs jets. Sa jouissance déclenche la mienne. Je m’enfonce dans un second orgasme qui me paralyse de la tête aux pieds. Sa puissance est foudroyante, c’est un tsunami qui m’emporte dans les abysses du plaisir.



Tremblante de toute mon âme, je profite des derniers soubresauts de son engin et des derniers spasmes de mon corps avant de m’écrouler sur le tapis. Je le sens se retirer, puis m’abandonner là, inerte, les yeux presque clos, le corps endolori par les orgasmes successifs, par la profonde jouissance de cette expérience inouïe.



Lorsque je reviens à moi, la chambre est vide, mes vêtements sont rassemblés sur une chaise. Flageolante, titubante sur mes jambes, pleine du nectar de mon inconnu, je me lève péniblement. Sur le grand lit intact, trône mon soutien-gorge avec un rectangle blanc posé dessus.



Debout, avec la semence qui reflue, qui s’échappe de mon vagin, je saisis la carte de visite et découvre l’identité de mon baiseur. Je retourne la carte et découvre, écris de sa main…… « C’est vous qui choisissez… »


Fin….
:heart:
Verrouillé

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