Climat incestueux
Posté : 09 juil. 2011, 16:43
Bonjour. J'aimerai vous parler de mon histoire. Je ne sais pas s’il s’est vraiment passé quelque chose. Je me suis longtemps posé des questions. M’a-t-on touché ? Par un homme ? Par ma mère ? Ces questions m’envahissent, me privent d’identité, empêchant la construction de ma véritable personnalité. Et mes souvenirs sont trop flous pour pouvoir m’aider. Je vais donc aujourd’hui essayer de les réunir du mieux que possible pour pouvoir peut être trouver une réponse à tout cela, sans jugement, rien qu’une énumération de mes quelques souvenirs.
Le climat, l’environnement dans lequel j’ai grandi était déjà fort délétère. Maman voulait faire accuser papa d’inceste, et ce par tous les moyens.
Mes premières réminiscences me portent vers des scènes rappelant que maman nous emmenait fréquemment consulter des hommes, des guérisseurs. Je m’en souviens d’un plus particulièrement. Il habitait assez de loin de chez nous, dans un endroit reculé, une sorte de forêt. En sa présence, nous devions nous allonger et nous déshabiller entièrement. Je me souviens de lui, agitant son pendule le long de mon corps nu. Et puis près de l’école, il y avait aussi cette vieille dame tireuse de carte mariée à un homme alité toute la journée dans son canapé, nous observant du coin de l’œil. Tous deux me faisait peur. Je ne me sentais vraiment pas en sécurité en leur présence. Je ne souhaitais qu’une seule chose : partir immédiatement avec mes sœurs, le plus vite et le plus loin possible.
Maman a depuis toujours créé en moi la crainte des hommes. Elle m’a insufflé une sorte de paranoïa dans laquelle tous les hommes ne pouvaient me faire que du mal. Je fais d’ailleurs encore de nombreux cauchemars à ce sujet, ceux-ci créant en moi un mal-être qui dure même en mon éveil durant la journée.
Mes souvenirs de ma mère ne sont basés que sur ce qu’il ne sait pas bien passé. En effet, aussi étrange que cela paraisse, je n’ai aucun souvenir avant mes 9 ans. Enfin pas tout à fait, je me rappelle d’une année en maternelle et puis autour de mes 9 ans. Entre, rien. Ou seulement un endroit. Mais aucun souvenir de moments passés avec elle.
Maman, à la maison, était toujours nue. Je me souviens de ses seins et de ses fesses. Et naturellement, devant nous, elle n’hésitait pas à se faire pénétrer par ses hommes. Je ne pense pas que le sexe était tabou chez elle. Elle évoquait régulièrement ce sujet à table.
Ma sœur et moi nous nous masturbions. Maman encourageait cela, elle disait que c’était normal parce que nous n’avions pas eu d’affection de la part de notre père.
Mes rapports à elle ne sont donc entretenus que par l’aspect physique. Je ressens encore la force qui se dégageait de ses « étreintes ». Elles étaient très brutales. Elle me serrait si fort avec ses mains qu’elle me faisait mal. J’ai encore la sensation de la force qui se dégageait de ses doigts, de ses mains sur moi. Je ressens son contrôle, sa domination. Surtout lors de cette scène qui s’est passée dans la salle de bain et qui provoque en moi le plus de malaise. J’ai à ce propos aujourd’hui la « phobie » des baignoires. Je me revois dans la baignoire, nue. Pourtant je me trouvais grande pour qu’elle me lave encore, qu’elle me fasse la toilette intime. Elle me lavait les fesses et ne faisait pas attention. Elle allait vite, très brusquement. Je me souviens de ses doigts rigides, avec force. Elle disait : « Il n’y a que maman qui ai le droit de faire ça. Elle ne vous lave pas les fesses la belle-mère hein ? ». Et puis je vois ses doigts encore qui écartent fermement mes lèvres. Juste ses doigts. Je n’ai pas pu résister. Et puis plus rien. Je ne me rappelle pas de la suite. Par la suite ma belle mère m’a appris qu’en arrivant habite chez eux, au moment de la douche, elle ne pouvait pas accéder chez moi. Je ne voulais absolument pas donc je me lavais toute seule.
A la même période, il y a eu Florian. C’était mon seul ami à l’époque (tout ça autour de mes 9 ans je le rappelle). Encore aujourd’hui je garde un bon souvenir de lui. C’était le seul qui s’intéressait un peu à moi, qui m’adressait la parole. Un jour, c’était la récré, (là je me souviens des moindres détails, même du temps qu’il faisait) il m’a emmené devant les toilettes, il n’y avait personne, et m’a demandé de baisser ma culotte. Je n’ai pas discuté, je ne me suis pas posé de questions je croyais que c’était normal. Mais j’avais vraiment honte. En plus, derrière moi il y avait des gars qui jouaient au basket et qui m’ont regardé en se moquant. Florian a tiré sur ma culotte et m’a léché.
Et puis ça a été le tour d’Antoine. Il mettait souvent sa main dans ma culotte, caressait et s’amusait avec mon sexe et mes seins. Il voulait que je les lui montre tout le temps.
Toujours chez ma mère, à la fin le sexe était imprégné en moi. Je me suis même surprise à vouloir faire pareil qu’elle. Je me souviens avoir caressé les fesses de ma cousine, je me sentais dominante, mais je n’ai jamais été plus loin.
Voila. J’ai réunie mon courage et mes souvenirs. Tout cela me fait tellement honte. J’ai du mal à croire qu’il se soit passé quelque chose. Mais je sais qu’il y a quelque chose qui ne va pas chez moi. Aujourd’hui je n’assume pas ma féminité. Je n’ai jamais eu de désir pour un garçon. Ils ne m’attirent pas. En revanche, les seules fois un j’ai éprouvé du désir, ce fut deux fois, pour des filles. Pourtant je ne me sens pas lesbienne. Et il m’arrive encore, lorsque maman envahit mes pensées, que je n’arrive pas à enlever son image de mon esprit, de me masturber. Et il m’est arrivé de désirer coucher avec elle. Enfin, je suis en constante recherche de la mère idéale chez les femmes an âge d’avoir un enfant.
Le climat, l’environnement dans lequel j’ai grandi était déjà fort délétère. Maman voulait faire accuser papa d’inceste, et ce par tous les moyens.
Mes premières réminiscences me portent vers des scènes rappelant que maman nous emmenait fréquemment consulter des hommes, des guérisseurs. Je m’en souviens d’un plus particulièrement. Il habitait assez de loin de chez nous, dans un endroit reculé, une sorte de forêt. En sa présence, nous devions nous allonger et nous déshabiller entièrement. Je me souviens de lui, agitant son pendule le long de mon corps nu. Et puis près de l’école, il y avait aussi cette vieille dame tireuse de carte mariée à un homme alité toute la journée dans son canapé, nous observant du coin de l’œil. Tous deux me faisait peur. Je ne me sentais vraiment pas en sécurité en leur présence. Je ne souhaitais qu’une seule chose : partir immédiatement avec mes sœurs, le plus vite et le plus loin possible.
Maman a depuis toujours créé en moi la crainte des hommes. Elle m’a insufflé une sorte de paranoïa dans laquelle tous les hommes ne pouvaient me faire que du mal. Je fais d’ailleurs encore de nombreux cauchemars à ce sujet, ceux-ci créant en moi un mal-être qui dure même en mon éveil durant la journée.
Mes souvenirs de ma mère ne sont basés que sur ce qu’il ne sait pas bien passé. En effet, aussi étrange que cela paraisse, je n’ai aucun souvenir avant mes 9 ans. Enfin pas tout à fait, je me rappelle d’une année en maternelle et puis autour de mes 9 ans. Entre, rien. Ou seulement un endroit. Mais aucun souvenir de moments passés avec elle.
Maman, à la maison, était toujours nue. Je me souviens de ses seins et de ses fesses. Et naturellement, devant nous, elle n’hésitait pas à se faire pénétrer par ses hommes. Je ne pense pas que le sexe était tabou chez elle. Elle évoquait régulièrement ce sujet à table.
Ma sœur et moi nous nous masturbions. Maman encourageait cela, elle disait que c’était normal parce que nous n’avions pas eu d’affection de la part de notre père.
Mes rapports à elle ne sont donc entretenus que par l’aspect physique. Je ressens encore la force qui se dégageait de ses « étreintes ». Elles étaient très brutales. Elle me serrait si fort avec ses mains qu’elle me faisait mal. J’ai encore la sensation de la force qui se dégageait de ses doigts, de ses mains sur moi. Je ressens son contrôle, sa domination. Surtout lors de cette scène qui s’est passée dans la salle de bain et qui provoque en moi le plus de malaise. J’ai à ce propos aujourd’hui la « phobie » des baignoires. Je me revois dans la baignoire, nue. Pourtant je me trouvais grande pour qu’elle me lave encore, qu’elle me fasse la toilette intime. Elle me lavait les fesses et ne faisait pas attention. Elle allait vite, très brusquement. Je me souviens de ses doigts rigides, avec force. Elle disait : « Il n’y a que maman qui ai le droit de faire ça. Elle ne vous lave pas les fesses la belle-mère hein ? ». Et puis je vois ses doigts encore qui écartent fermement mes lèvres. Juste ses doigts. Je n’ai pas pu résister. Et puis plus rien. Je ne me rappelle pas de la suite. Par la suite ma belle mère m’a appris qu’en arrivant habite chez eux, au moment de la douche, elle ne pouvait pas accéder chez moi. Je ne voulais absolument pas donc je me lavais toute seule.
A la même période, il y a eu Florian. C’était mon seul ami à l’époque (tout ça autour de mes 9 ans je le rappelle). Encore aujourd’hui je garde un bon souvenir de lui. C’était le seul qui s’intéressait un peu à moi, qui m’adressait la parole. Un jour, c’était la récré, (là je me souviens des moindres détails, même du temps qu’il faisait) il m’a emmené devant les toilettes, il n’y avait personne, et m’a demandé de baisser ma culotte. Je n’ai pas discuté, je ne me suis pas posé de questions je croyais que c’était normal. Mais j’avais vraiment honte. En plus, derrière moi il y avait des gars qui jouaient au basket et qui m’ont regardé en se moquant. Florian a tiré sur ma culotte et m’a léché.
Et puis ça a été le tour d’Antoine. Il mettait souvent sa main dans ma culotte, caressait et s’amusait avec mon sexe et mes seins. Il voulait que je les lui montre tout le temps.
Toujours chez ma mère, à la fin le sexe était imprégné en moi. Je me suis même surprise à vouloir faire pareil qu’elle. Je me souviens avoir caressé les fesses de ma cousine, je me sentais dominante, mais je n’ai jamais été plus loin.
Voila. J’ai réunie mon courage et mes souvenirs. Tout cela me fait tellement honte. J’ai du mal à croire qu’il se soit passé quelque chose. Mais je sais qu’il y a quelque chose qui ne va pas chez moi. Aujourd’hui je n’assume pas ma féminité. Je n’ai jamais eu de désir pour un garçon. Ils ne m’attirent pas. En revanche, les seules fois un j’ai éprouvé du désir, ce fut deux fois, pour des filles. Pourtant je ne me sens pas lesbienne. Et il m’arrive encore, lorsque maman envahit mes pensées, que je n’arrive pas à enlever son image de mon esprit, de me masturber. Et il m’est arrivé de désirer coucher avec elle. Enfin, je suis en constante recherche de la mère idéale chez les femmes an âge d’avoir un enfant.