Quand les garçons m'avouent leurs fantasmes
Posté : 27 févr. 2023, 20:14
Est-ce délibéré ?
C'était vendredi matin, 10 février, à onze heures. Après les cours et avant les vacances de février qui commençaient l'après-midi, Jonathan m'a invité à boire un jus de fruit. Dans la cafétéria de la faculté. Nous nous amusons tous les dimanches soirs à des jeux très particuliers. Jonathan n'est pas mon "petit copain", c'est mon ami. Mon complice. C'est beaucoup mieux. Là, attablé dans cette grande salle impersonnelle, Jonathan en est arrivé à m'entretenir de ses fantasmes. Je lui avoue être très curieuse d'en savoir davantage. Ma libido émoustillée, j'écoute avec attention. Lorsque nous nous masturbons l'un en face de l'autre dans sa chambre, il reste mutique. Il ne répond jamais à mes questions "sexuelles". Il se contente d'un mystérieux sourire. D'un regard qui illumine le bleu clair de ses yeux. Alors, comme il me fait "craquer", je n'insiste pas. Je me contente de l'observer. Mon Viking.
Le menton posé sur mes deux mains croisées, je le fixe. Impatiente de boire ses confidences. Des aveux que j'attends depuis deux ans. Je m'attends à du "croustillant", du graveleux peut-être. J'écoute. Le premier fantasme qu'il m'avoue avec un air de conspirateur, en chuchotant alors que nous sommes seuls dans cette partie du restaurant universitaire : << Je suis assis dans le fauteuil dans ma chambre. Tu me fais un strip-tease ! >>. J'éclate de rire. Je regarde son air consterné. Je pose ma main affectueusement sur la sienne en disant : << Continue ! >>. Il m'observe comme si j'étais une extra-terrestre. Jonathan exprime son second fantasme : << On est dans ma salle de bain et je te regarde dans la baignoire ! >>. Là, je suis écroulée de rire. Mal au ventre. << Mais quoi ? >> s'écrie t-il.
J'essaie alors de trouver les mots justes. Comment expliquer à ce garçon de 24 ans que j'apprécie beaucoup, qui est mon complice, mon comparse des dimanches soirs, que j'attends des situations beaucoup plus "hard". Il me regarde avec de grands yeux. Il pense d'abord que je suis choquée par tant de "cochonneries". Il commence à comprendre quand je parle de balades en ville sans culotte sous ma jupette. Sa consternation ne fait que grandir. Jonathan ne sait pas grand chose de mes tendances exhibitionnistes et de mes propensions au voyeurisme. Il ignore que je mets tout cela en pratique. Jusqu'à l'obtention de mon Doctorat, je garderai tout cela secret. Comme le dit maman : << Le cœur d'une femme est un océan de secrets ! >>. Et un secret partagé est un secret trahi.
Toujours est-il que j'ai quitté Jonathan peu avant midi en ayant envie de couvrir son visage de bisous. Il est tellement innocent dans ses attitudes. Et maintenant que je connais ses fantasmes à mon égard, j'éprouve pour lui une sorte de profonde compassion. Qu'il est mignon mon hercule ! Nous nous revoyons dans deux semaines, après les vacances. En rentrant, comme je le fais souvent, je me touche en roulant. Tout au fond de moi, une petite voix me répète : << C'est merveilleux Valona, tu as un garçon qui t'aime en cachette, qui n'ose pas te le dire et que tu vas pouvoir dévergonder. Tu vas pouvoir l'éduquer. Le former à tes fantasmes ! >>. Cette réflexion m'emplit d'une sorte de félicité. Moi qui me destine au professorat, je vais pouvoir enseigner mes "passions" à cet homme qui partagera probablement un jour mon existence.
D'ici là, je veux encore de nombreuses années de liberté totale...
Bisou
C'était vendredi matin, 10 février, à onze heures. Après les cours et avant les vacances de février qui commençaient l'après-midi, Jonathan m'a invité à boire un jus de fruit. Dans la cafétéria de la faculté. Nous nous amusons tous les dimanches soirs à des jeux très particuliers. Jonathan n'est pas mon "petit copain", c'est mon ami. Mon complice. C'est beaucoup mieux. Là, attablé dans cette grande salle impersonnelle, Jonathan en est arrivé à m'entretenir de ses fantasmes. Je lui avoue être très curieuse d'en savoir davantage. Ma libido émoustillée, j'écoute avec attention. Lorsque nous nous masturbons l'un en face de l'autre dans sa chambre, il reste mutique. Il ne répond jamais à mes questions "sexuelles". Il se contente d'un mystérieux sourire. D'un regard qui illumine le bleu clair de ses yeux. Alors, comme il me fait "craquer", je n'insiste pas. Je me contente de l'observer. Mon Viking.
Le menton posé sur mes deux mains croisées, je le fixe. Impatiente de boire ses confidences. Des aveux que j'attends depuis deux ans. Je m'attends à du "croustillant", du graveleux peut-être. J'écoute. Le premier fantasme qu'il m'avoue avec un air de conspirateur, en chuchotant alors que nous sommes seuls dans cette partie du restaurant universitaire : << Je suis assis dans le fauteuil dans ma chambre. Tu me fais un strip-tease ! >>. J'éclate de rire. Je regarde son air consterné. Je pose ma main affectueusement sur la sienne en disant : << Continue ! >>. Il m'observe comme si j'étais une extra-terrestre. Jonathan exprime son second fantasme : << On est dans ma salle de bain et je te regarde dans la baignoire ! >>. Là, je suis écroulée de rire. Mal au ventre. << Mais quoi ? >> s'écrie t-il.
J'essaie alors de trouver les mots justes. Comment expliquer à ce garçon de 24 ans que j'apprécie beaucoup, qui est mon complice, mon comparse des dimanches soirs, que j'attends des situations beaucoup plus "hard". Il me regarde avec de grands yeux. Il pense d'abord que je suis choquée par tant de "cochonneries". Il commence à comprendre quand je parle de balades en ville sans culotte sous ma jupette. Sa consternation ne fait que grandir. Jonathan ne sait pas grand chose de mes tendances exhibitionnistes et de mes propensions au voyeurisme. Il ignore que je mets tout cela en pratique. Jusqu'à l'obtention de mon Doctorat, je garderai tout cela secret. Comme le dit maman : << Le cœur d'une femme est un océan de secrets ! >>. Et un secret partagé est un secret trahi.
Toujours est-il que j'ai quitté Jonathan peu avant midi en ayant envie de couvrir son visage de bisous. Il est tellement innocent dans ses attitudes. Et maintenant que je connais ses fantasmes à mon égard, j'éprouve pour lui une sorte de profonde compassion. Qu'il est mignon mon hercule ! Nous nous revoyons dans deux semaines, après les vacances. En rentrant, comme je le fais souvent, je me touche en roulant. Tout au fond de moi, une petite voix me répète : << C'est merveilleux Valona, tu as un garçon qui t'aime en cachette, qui n'ose pas te le dire et que tu vas pouvoir dévergonder. Tu vas pouvoir l'éduquer. Le former à tes fantasmes ! >>. Cette réflexion m'emplit d'une sorte de félicité. Moi qui me destine au professorat, je vais pouvoir enseigner mes "passions" à cet homme qui partagera probablement un jour mon existence.
D'ici là, je veux encore de nombreuses années de liberté totale...
Bisou