On s'en fout royalement, mais dites le quand même
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Tu me fais rire, à dire gnééé. J't'explique: une fanfic, c'est une histoire créée par un fan d'une histoire déjà existante qui reprend les persos de cette histoire. Et moi, je fais ça avec Harry Potter. Tiens, pour te donner un exemple, je poste le premier chapitre d'une de mes fics:
Et si tu m'aimais aussi...
Chapitre un: Par amour
La jeune fille rejeta en arrière ses longs cheveux bruns tirant sur le noir, tout en marchant nonchalamment le long du couloir éclairé seulement par les flambeaux, sa jupe bleu marine outrageusement courte bruissant autour de ses cuisses. Bellatrix Black avait seize ans, bientôt dix-sept. Et elle était amoureuse. En arrivant devant la porte dérobée de la salle commune de Serpentard, elle s’adossa au mur, le souffle court, le cœur battant à tout rompre, ses livres serrés contre sa poitrine. « Je me demande s’il sera là… » pensait-elle. Elle se haïssait de penser comme une de ces petites idiotes qui ne savaient rien faire d’autre que se pâmer devant un garçon, mais elle devait se rendre à l’évidence : l’amour était enivrant. Envoûtant. Au point de lui faire perdre toute notion. Le temps, l’espace, tout devenait flou lorsqu’il posait les yeux sur elle. Il. Lui. Celui qu’elle aimait. Elle poussa la porte secrète et pénétra dans la salle commune d’un pas, espérait-elle, totalement assuré. En réalité, elle aurait pu s’effondrer, tant elle était nerveuse. Elle promena son regard sur les élèves avachis sur des canapés en velours vert et enfin, le vit, lui. Elle s’assit à même la moquette, se mêlant à la dizaine d’étudiants qui l’écoutaient raconter ses vacances de Noël, qu’il avait, comme toujours, passées à Poudlard.
Tom Elvis Jedusor ne lui accorda même pas un regard. À ses yeux, Bellatrix Black n’était rien. Et ça la faisait extrêmement souffrir. Poussant un lourd soupir, elle lança un coup d’œil furieux à une petite 2ème année, un peu trop proche du genou du jeune homme, selon elle. La petite fille bafouilla quelque chose et déguerpit. Bellatrix en profita pour s’installer à sa place, sans aucun état d’âme. Lucius Malefoy éclata de rire, interrompant Jedusor, et prit un air sournois, toisant Bellatrix, qui serra les poings, anticipant les évènements.
- Tiens, on dirait que notre Bella a un faible pour Tom…
Narcissa Black vint s’asseoir sur ses genoux, le rendant encore un peu plus fier. Depuis qu’elle sortait avec lui, il ne manquait pas une occasion de se pavaner. La jeune fille se pencha vers Bella et ajouta innocemment :
- Tu as des vues sur lui, petite sœur?
Bellatrix décocha un regard haineux à sa sœur, incapable de répondre. Nier était au-delà de ses forces, avouer était se condamner devant des élèves qui n’auraient pour elle aucune pitié, fût-elle issue de la plus ancienne et la plus respectable famille de Sang-Purs d’Angleterre. Demeurant muette, elle se contenta de lever les yeux vers le garçon qu’elle aimait à la folie. Celui-ci baissa les yeux sur elle, un mauvais sourire sur son visage pâle. Il interrogea :
- Tu m’aimes, Bellatrix Black?
Le cœur au bord des lèvres, elle fit timidement « non » de la tête. Il rit.
- Tant mieux, parce que je ne suis pas libre. Melina Horney-Smith et moi sortons ensemble depuis Noël. Tu l’ignorais? Eh bien maintenant, tu le sais…
Dans le brouillard qui avait obscurci sa vision, Bellatrix ne vit soudain plus que Tom Jedusor et la jeune fille blonde qui la regardait, l’air désolé. Et le bras de Jedusor qui venait de se poser sur ses épaules graciles, possessif. Elle sentit les larmes lui monter aux yeux. Pour ne pas perdre la face, elle se leva dignement et monta dans le dortoir des filles. Là seulement, elle se jeta sur son lit et pleura toutes les larmes de son corps, jusqu’à s’endormir d’épuisement.
Elle se réveilla en sursaut, en nage et brûlante. Sa sœur lui caressait les cheveux, un plateau débordant de leurs friandises préférées à la main. Constatant que Bellatrix s’était réveillée, elle sourit :
- J’ai volé ça à la cuisine, tout à l’heure. Ces elfes bons à rien sont vraiment stupides… Désolée pour tout à l’heure, Bella. Je ne savais pas que Tom allait t’éconduire comme ça…
Bellatrix se frotta les paupières et demanda dans un long bâillement :
- Il est quelle heure?
Sa sœur éclata de son rire délicat et lui ébouriffa les cheveux.
- Il est cinq heures, les cours sont finis!
Constatant le silence dans le dortoir, habituellement animé par les discussions et les fous rires des demoiselles de Serpentard, Bella se redressa sur ses oreillers pour regarder autour d’elle. Anticipant sa question, Narcissa expliqua :
- J’ai viré les autres dehors avec interdiction de revenir avant onze heures, minimum.
La brunette fronça les sourcils.
- Mais, et le couvre-feu? Il est à dix heures, non?
La bouche pleine de Dragées Surprises de Bertie Crochue, sa blonde sœur réussit tout de même à répondre avant de pouffer de rire :
- Ben, elles ne m’ont rien dit à ce sujet, donc je suppose qu’elles sauront se débrouiller…
Haussant les épaules, Bellatrix ouvrit un paquet de Chocogrenouilles et décapita rageusement la friandise chocolatée d’un coup de dents, avant de mettre feu à la carte de Dumbledore d’un coup de sa baguette en bois de rose et crin de licorne. Puis, elle arracha les membres de la grenouille un à un, lentement, avant de couper ce qui restait de son corps en petits cubes à l’aide de ses ongles taillés en pointe. Elle les mâchonna, hargneuse, goûtant à peine la douceur sucrée du chocolat sous sa langue. Elle sentait naître la rage dans son ventre, comme un poison qui se distillait dans son corps et la privait de toute rationalité. Comment, une autre osait s’approprier son futur petit ami? Elle connaissait Melina pour lui avoir parlé deux ou trois fois pendant les cours, c’était tout, mais alors que la rancœur grandissait en elle, Bellatrix se mit à entrevoir une solution toute simple à son problème. Une fois Melina éliminée, rien ne pourrait plus l’empêcher de conquérir le cœur de son Prince des Ténèbres…
Les yeux dans le vague, un sourire absent sur les lèvres, la jeune fille commença à envisager toutes les façons d’assassiner une personne. D’abord les plus douces, qu’elle écarta d’office puisqu’elle souhaitait que sa rivale souffre le plus possible, puis celles nécessitant qu’elle s’en charge à la main, qu’elle abandonna aussi puisqu’elle n’avait nulle envie d’avoir le sang de son ennemie plein les doigts, et finalement les sortilèges, maléfices, enchantements, malédictions…etc.
Bellatrix avait déjà tué par le passé, mais ça avait été involontaire. Un petit garçon, un moldu, les avait surprises, Narcissa et elle, en train de pratiquer leurs enchantements, l’été de leur admission à Poudlard. Au lieu de hurler et de s’enfuir, l’enfant avait saisi une pierre grosse comme son poing et la leur avait jetée. Instinctivement, la jeune fille, alors âgée de onze ans, avait agité sa baguette, un bras devant sa figure pour se protéger. Il y avait eu un grand cri – aigu, elle s’en souvenait parfaitement – et puis plus rien. Lorsqu’elle avait baissé sa garde, elle avait découvert le cadavre du garçon, une horrible blessure au front et la pierre sanglante à côté. Terrifiées par les évènements, les deux fillettes s’étaient enfuies et n’avait jamais confié un mot de tout ceci à qui que ce soit.
Se tournant vers sa sœur, qui classait ses bonbons selon leur couleur, elle questionna à mi-voix, craignant d’être entendue :
- Tu te souviens, l’été où j’ai tué cet enfant moldu?
Pleinement absorbée par son classage de friandises, celle-ci émit un petit bruit en guise de réponse, qui pouvait être interprété comme un « oui ». Bella inspira profondément et lâcha :
- Je peux recommencer. Je peux et je veux. Je vais tuer cette fille. Cette Melina Horney-Smith, je vais l’assassiner.
Sans même lever la tête de sa pile de sucreries, Narcissa commenta :
- C’est bien… Tu vas t’y prendre comment? Sans te faire prendre, s’entend, parce que je doute que le vieux hibou qui nous sert de directeur accepte que des meurtres se produisent dans son école…
Croisant ses longs doigts effilés, Bellatrix fournit à sa sœur la réponse :
- Je vais utiliser une poupée Vaudou.
- Cette vieille technique? Pourquoi?
- Parce que si je brûle la poupée, Melina sera brûlée vive en même temps, sans flammes donc sans risques de déclencher un incendie, et lorsque la poupée sera complètement détruite, ma rivale sera morte. Pas de preuves, pas de traces… et une douleur extrême pour cette pimbêche.
Accordant enfin son attention à sa cadette – seulement de quelques heures, comme rectifiait Bella chaque fois que Narcissa se vantait d’être l’aînée –, Narcissa plissa son petit nez retroussé.
- Et comment vas-tu faire pour trouver la formule? Et la mèche de cheveux?
Un air sombre sur le visage, Bellatrix Black répondit dans un murmure :
- Oh, je vais trouver, crois-moi…
Et si tu m'aimais aussi...
Chapitre un: Par amour
La jeune fille rejeta en arrière ses longs cheveux bruns tirant sur le noir, tout en marchant nonchalamment le long du couloir éclairé seulement par les flambeaux, sa jupe bleu marine outrageusement courte bruissant autour de ses cuisses. Bellatrix Black avait seize ans, bientôt dix-sept. Et elle était amoureuse. En arrivant devant la porte dérobée de la salle commune de Serpentard, elle s’adossa au mur, le souffle court, le cœur battant à tout rompre, ses livres serrés contre sa poitrine. « Je me demande s’il sera là… » pensait-elle. Elle se haïssait de penser comme une de ces petites idiotes qui ne savaient rien faire d’autre que se pâmer devant un garçon, mais elle devait se rendre à l’évidence : l’amour était enivrant. Envoûtant. Au point de lui faire perdre toute notion. Le temps, l’espace, tout devenait flou lorsqu’il posait les yeux sur elle. Il. Lui. Celui qu’elle aimait. Elle poussa la porte secrète et pénétra dans la salle commune d’un pas, espérait-elle, totalement assuré. En réalité, elle aurait pu s’effondrer, tant elle était nerveuse. Elle promena son regard sur les élèves avachis sur des canapés en velours vert et enfin, le vit, lui. Elle s’assit à même la moquette, se mêlant à la dizaine d’étudiants qui l’écoutaient raconter ses vacances de Noël, qu’il avait, comme toujours, passées à Poudlard.
Tom Elvis Jedusor ne lui accorda même pas un regard. À ses yeux, Bellatrix Black n’était rien. Et ça la faisait extrêmement souffrir. Poussant un lourd soupir, elle lança un coup d’œil furieux à une petite 2ème année, un peu trop proche du genou du jeune homme, selon elle. La petite fille bafouilla quelque chose et déguerpit. Bellatrix en profita pour s’installer à sa place, sans aucun état d’âme. Lucius Malefoy éclata de rire, interrompant Jedusor, et prit un air sournois, toisant Bellatrix, qui serra les poings, anticipant les évènements.
- Tiens, on dirait que notre Bella a un faible pour Tom…
Narcissa Black vint s’asseoir sur ses genoux, le rendant encore un peu plus fier. Depuis qu’elle sortait avec lui, il ne manquait pas une occasion de se pavaner. La jeune fille se pencha vers Bella et ajouta innocemment :
- Tu as des vues sur lui, petite sœur?
Bellatrix décocha un regard haineux à sa sœur, incapable de répondre. Nier était au-delà de ses forces, avouer était se condamner devant des élèves qui n’auraient pour elle aucune pitié, fût-elle issue de la plus ancienne et la plus respectable famille de Sang-Purs d’Angleterre. Demeurant muette, elle se contenta de lever les yeux vers le garçon qu’elle aimait à la folie. Celui-ci baissa les yeux sur elle, un mauvais sourire sur son visage pâle. Il interrogea :
- Tu m’aimes, Bellatrix Black?
Le cœur au bord des lèvres, elle fit timidement « non » de la tête. Il rit.
- Tant mieux, parce que je ne suis pas libre. Melina Horney-Smith et moi sortons ensemble depuis Noël. Tu l’ignorais? Eh bien maintenant, tu le sais…
Dans le brouillard qui avait obscurci sa vision, Bellatrix ne vit soudain plus que Tom Jedusor et la jeune fille blonde qui la regardait, l’air désolé. Et le bras de Jedusor qui venait de se poser sur ses épaules graciles, possessif. Elle sentit les larmes lui monter aux yeux. Pour ne pas perdre la face, elle se leva dignement et monta dans le dortoir des filles. Là seulement, elle se jeta sur son lit et pleura toutes les larmes de son corps, jusqu’à s’endormir d’épuisement.
Elle se réveilla en sursaut, en nage et brûlante. Sa sœur lui caressait les cheveux, un plateau débordant de leurs friandises préférées à la main. Constatant que Bellatrix s’était réveillée, elle sourit :
- J’ai volé ça à la cuisine, tout à l’heure. Ces elfes bons à rien sont vraiment stupides… Désolée pour tout à l’heure, Bella. Je ne savais pas que Tom allait t’éconduire comme ça…
Bellatrix se frotta les paupières et demanda dans un long bâillement :
- Il est quelle heure?
Sa sœur éclata de son rire délicat et lui ébouriffa les cheveux.
- Il est cinq heures, les cours sont finis!
Constatant le silence dans le dortoir, habituellement animé par les discussions et les fous rires des demoiselles de Serpentard, Bella se redressa sur ses oreillers pour regarder autour d’elle. Anticipant sa question, Narcissa expliqua :
- J’ai viré les autres dehors avec interdiction de revenir avant onze heures, minimum.
La brunette fronça les sourcils.
- Mais, et le couvre-feu? Il est à dix heures, non?
La bouche pleine de Dragées Surprises de Bertie Crochue, sa blonde sœur réussit tout de même à répondre avant de pouffer de rire :
- Ben, elles ne m’ont rien dit à ce sujet, donc je suppose qu’elles sauront se débrouiller…
Haussant les épaules, Bellatrix ouvrit un paquet de Chocogrenouilles et décapita rageusement la friandise chocolatée d’un coup de dents, avant de mettre feu à la carte de Dumbledore d’un coup de sa baguette en bois de rose et crin de licorne. Puis, elle arracha les membres de la grenouille un à un, lentement, avant de couper ce qui restait de son corps en petits cubes à l’aide de ses ongles taillés en pointe. Elle les mâchonna, hargneuse, goûtant à peine la douceur sucrée du chocolat sous sa langue. Elle sentait naître la rage dans son ventre, comme un poison qui se distillait dans son corps et la privait de toute rationalité. Comment, une autre osait s’approprier son futur petit ami? Elle connaissait Melina pour lui avoir parlé deux ou trois fois pendant les cours, c’était tout, mais alors que la rancœur grandissait en elle, Bellatrix se mit à entrevoir une solution toute simple à son problème. Une fois Melina éliminée, rien ne pourrait plus l’empêcher de conquérir le cœur de son Prince des Ténèbres…
Les yeux dans le vague, un sourire absent sur les lèvres, la jeune fille commença à envisager toutes les façons d’assassiner une personne. D’abord les plus douces, qu’elle écarta d’office puisqu’elle souhaitait que sa rivale souffre le plus possible, puis celles nécessitant qu’elle s’en charge à la main, qu’elle abandonna aussi puisqu’elle n’avait nulle envie d’avoir le sang de son ennemie plein les doigts, et finalement les sortilèges, maléfices, enchantements, malédictions…etc.
Bellatrix avait déjà tué par le passé, mais ça avait été involontaire. Un petit garçon, un moldu, les avait surprises, Narcissa et elle, en train de pratiquer leurs enchantements, l’été de leur admission à Poudlard. Au lieu de hurler et de s’enfuir, l’enfant avait saisi une pierre grosse comme son poing et la leur avait jetée. Instinctivement, la jeune fille, alors âgée de onze ans, avait agité sa baguette, un bras devant sa figure pour se protéger. Il y avait eu un grand cri – aigu, elle s’en souvenait parfaitement – et puis plus rien. Lorsqu’elle avait baissé sa garde, elle avait découvert le cadavre du garçon, une horrible blessure au front et la pierre sanglante à côté. Terrifiées par les évènements, les deux fillettes s’étaient enfuies et n’avait jamais confié un mot de tout ceci à qui que ce soit.
Se tournant vers sa sœur, qui classait ses bonbons selon leur couleur, elle questionna à mi-voix, craignant d’être entendue :
- Tu te souviens, l’été où j’ai tué cet enfant moldu?
Pleinement absorbée par son classage de friandises, celle-ci émit un petit bruit en guise de réponse, qui pouvait être interprété comme un « oui ». Bella inspira profondément et lâcha :
- Je peux recommencer. Je peux et je veux. Je vais tuer cette fille. Cette Melina Horney-Smith, je vais l’assassiner.
Sans même lever la tête de sa pile de sucreries, Narcissa commenta :
- C’est bien… Tu vas t’y prendre comment? Sans te faire prendre, s’entend, parce que je doute que le vieux hibou qui nous sert de directeur accepte que des meurtres se produisent dans son école…
Croisant ses longs doigts effilés, Bellatrix fournit à sa sœur la réponse :
- Je vais utiliser une poupée Vaudou.
- Cette vieille technique? Pourquoi?
- Parce que si je brûle la poupée, Melina sera brûlée vive en même temps, sans flammes donc sans risques de déclencher un incendie, et lorsque la poupée sera complètement détruite, ma rivale sera morte. Pas de preuves, pas de traces… et une douleur extrême pour cette pimbêche.
Accordant enfin son attention à sa cadette – seulement de quelques heures, comme rectifiait Bella chaque fois que Narcissa se vantait d’être l’aînée –, Narcissa plissa son petit nez retroussé.
- Et comment vas-tu faire pour trouver la formule? Et la mèche de cheveux?
Un air sombre sur le visage, Bellatrix Black répondit dans un murmure :
- Oh, je vais trouver, crois-moi…
2012, les Extraterrestres débarquent, verts avec des chemises hawaiiennes, le jus de carotte dans une noix de coco! Je t'aime Maman XD
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