Les vacances
Nous sommes arrivés hier, lundi 30 juin, (2025) en fin d'après-midi, dans notre résidence secondaire. Cet ancien corps de ferme que papa et maman ont fait rénover quand j'étais petite. Il fait bien évidemment beau et très chaud. Personnellement j'adore la canicule. Ce matin, avec maman, nous étions au marché du bourg voisin. Des melons, des brugnons, des nectarines, des pêches par cageots. Car nous en raffolons. Demain matin, nous irons au port de bonne heure. Pour la criée. Nous adorons les crustacés. Cet après-midi, virée à bicyclette. Seule. Je vais retrouver ma piste cyclable et toutes ces stations où j'aime m'arrêter. Le camping et son marchand de glaces artisanales. Le mini-golf. Puis les falaises et son sentier qui descend à l'une des plages minuscules.
Je partagerai mes aventures car nous resterons dans cet enchantement paradisiaque jusqu'au début septembre.
À suivre
Deux mois au bord de l'océan
Deux mois au bord de l'océan
J'aime être vue au point d'en oublier de voir
Deux mois au bord de l'océan - Épisode 2
Seconde journée
Ce matin, après notre jogging et la douche, avec maman, nous sommes allées au port. La criée. La saison touristique semble avoir vraiment commencée. Le ciel était voilé et laiteux. Maintenant, à 11 h20, le soleil est revenu. La brise du large emmène enfin un peu de fraîcheur. J'adore flâner entre les marins artisans qui proposent les fruits de leurs pêches nocturnes. Des homards géants et des crabes impressionnants, dont les pinces sont bloquées par de gros élastiques. Il était huit heures trente. Et déjà plein de monde. Ça parle Allemand, Hollandais et Anglais. Beaucoup d'asiatiques cette année. Et bien sûr quelque autochtones.
Nous avons récupéré un homard, des crevettes pour ce soir. De la queue de homard à midi, grillée au barbecue avec des poivrons rouges. Des pommes de terre poêlées. Le tout accompagnés d'une salade de salicorne et de tomates cerises. Là, je vais placer les assiettes sur la table du jardin. Demain matin, nous retournons pour acheter des langoustines et des moules. Notre cure annuelle de produits de la mer. Frais et vivants. Cet après-midi, virée vélo. Seule, comme j'aime. Ma petite crique secrète m'attend au bas des falaises. Et bien évidemment mon cône de glace artisanale à la pistache, géant chez le marchand du camping.
À bientôt
Ce matin, après notre jogging et la douche, avec maman, nous sommes allées au port. La criée. La saison touristique semble avoir vraiment commencée. Le ciel était voilé et laiteux. Maintenant, à 11 h20, le soleil est revenu. La brise du large emmène enfin un peu de fraîcheur. J'adore flâner entre les marins artisans qui proposent les fruits de leurs pêches nocturnes. Des homards géants et des crabes impressionnants, dont les pinces sont bloquées par de gros élastiques. Il était huit heures trente. Et déjà plein de monde. Ça parle Allemand, Hollandais et Anglais. Beaucoup d'asiatiques cette année. Et bien sûr quelque autochtones.
Nous avons récupéré un homard, des crevettes pour ce soir. De la queue de homard à midi, grillée au barbecue avec des poivrons rouges. Des pommes de terre poêlées. Le tout accompagnés d'une salade de salicorne et de tomates cerises. Là, je vais placer les assiettes sur la table du jardin. Demain matin, nous retournons pour acheter des langoustines et des moules. Notre cure annuelle de produits de la mer. Frais et vivants. Cet après-midi, virée vélo. Seule, comme j'aime. Ma petite crique secrète m'attend au bas des falaises. Et bien évidemment mon cône de glace artisanale à la pistache, géant chez le marchand du camping.
À bientôt
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Re: Deux mois au bord de l'océan
Coucou Valona,
Comme tout ça doit être agréable, et on le ressent bien à travers tes écrits, et descriptions, surtout profites bien de tes vacances
Et merci pour le partage de tes belles vacances
Comme tout ça doit être agréable, et on le ressent bien à travers tes écrits, et descriptions, surtout profites bien de tes vacances
Et merci pour le partage de tes belles vacances
Deux mois au bord de l'océan - Épisode 3
Troisième jour
J'ai fait mon jogging avec papa ce matin. Avant les grosses chaleurs. Une heure de pur plaisir le long de l'océan. Dont une partie sur la longue plage encore déserte. Après la douche, c'est avec maman que je suis allée au marché du bourg. J'adore ces ambiances faites d'odeurs de fruits, de légumes et de produits frais. Nous avons dévaliser le rayon des nectarines, celui des brugnons et celui des pêches. Deux gros melons. Ils sont bien sucrés. Comme je prépare le repas et le dessert nous sommes revenues pour onze heures.
Je vais concocter un repas simple mais succulent. Des moules avec des haricots verts et des petits pois. En dessert les melons. Je vais les couper en deux. Je vais retirer les pépins. Je vais remplir le vide ainsi créé avec des boules de glaces. Probablement à la pistache et au nougat. C'est à tomber tellement c'est bon. Là, je vais aller rejoindre les fourneaux. C'est maman qui prépare la table dans le jardin. Papa est occupé aux conférences qu'il donnera en octobre. Cet après-midi, mon habituelle virée vélo et plage.
À bientôt
Merci Capucine pour votre gentille considération.
J'ai fait mon jogging avec papa ce matin. Avant les grosses chaleurs. Une heure de pur plaisir le long de l'océan. Dont une partie sur la longue plage encore déserte. Après la douche, c'est avec maman que je suis allée au marché du bourg. J'adore ces ambiances faites d'odeurs de fruits, de légumes et de produits frais. Nous avons dévaliser le rayon des nectarines, celui des brugnons et celui des pêches. Deux gros melons. Ils sont bien sucrés. Comme je prépare le repas et le dessert nous sommes revenues pour onze heures.
Je vais concocter un repas simple mais succulent. Des moules avec des haricots verts et des petits pois. En dessert les melons. Je vais les couper en deux. Je vais retirer les pépins. Je vais remplir le vide ainsi créé avec des boules de glaces. Probablement à la pistache et au nougat. C'est à tomber tellement c'est bon. Là, je vais aller rejoindre les fourneaux. C'est maman qui prépare la table dans le jardin. Papa est occupé aux conférences qu'il donnera en octobre. Cet après-midi, mon habituelle virée vélo et plage.
À bientôt
Merci Capucine pour votre gentille considération.
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Deux mois au bord de l'océan - Épisode 4
Quatrième jour
Ce vendredi matin, jogging avec maman. Papa préfère faire sa muscu dans sa salle aménagée. La douche. Nous adorons aller au marché du bourg. Le ciel est laiteux. La température très agréable avec seulement 22°. Nous sommes toutes les deux en robes d'été. Nos sandalettes. Une nouvelle razzia sur les nectarines, les brugnons et deux superbes melons. Pour midi des escalopes de dinde au barbecue. Accompagnées de ces petites pommes de terre qu'il est inutile d'éplucher. Ébouillantées quelques minutes et grillées sur les grilles à côté des escalopes. En entrée des avocats et un beau concombre.
Cet après-midi, c'est une virée vélo le long de la piste cyclable. Je vais descendre jusqu'à la forêt de pins. Environs vingt cinq kilomètres. La météo s'y prête. Nous serons très probablement nombreux sur la piste cyclable. Il est 13 h25 et le ciel restera certainement voilé toute la journée. Avec un risque de pluie en fin de soirée. Seule dans ma chambre, je suis déjà en tenue cycliste. Jupette, T-shirt et baskets.
Je file...
Ce vendredi matin, jogging avec maman. Papa préfère faire sa muscu dans sa salle aménagée. La douche. Nous adorons aller au marché du bourg. Le ciel est laiteux. La température très agréable avec seulement 22°. Nous sommes toutes les deux en robes d'été. Nos sandalettes. Une nouvelle razzia sur les nectarines, les brugnons et deux superbes melons. Pour midi des escalopes de dinde au barbecue. Accompagnées de ces petites pommes de terre qu'il est inutile d'éplucher. Ébouillantées quelques minutes et grillées sur les grilles à côté des escalopes. En entrée des avocats et un beau concombre.
Cet après-midi, c'est une virée vélo le long de la piste cyclable. Je vais descendre jusqu'à la forêt de pins. Environs vingt cinq kilomètres. La météo s'y prête. Nous serons très probablement nombreux sur la piste cyclable. Il est 13 h25 et le ciel restera certainement voilé toute la journée. Avec un risque de pluie en fin de soirée. Seule dans ma chambre, je suis déjà en tenue cycliste. Jupette, T-shirt et baskets.
Je file...
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Deux mois au bord de l'océan - Épisode 5
Cinquième jour
Alors que je passais mes après-midi à bicyclette, à la plage ou encore en balade, mes parents préparaient leur bateau. Ils prennent la mer demain, dimanche, en début d'après-midi. Avec papy et mamie du côté de papa. Une croisière de trois semaines qui les emmènera au large du Portugal puis de l'Espagne. Cadix où ils retrouveront papy et mamie du côté de maman. Ils y possèdent à proximité une adorable petite maison de pêcheur entièrement rénovée. Le retour est prévu pour le dimanche 27 juillet. Je vais donc être seule. Je me réjouis.
J'organise chaque été ces merveilleuses séquences de solitudes avec soin. Tout est programmé. Bien évidemment je laisse des fenêtres d'improvisations dans ce planning qui n'est toutefois pas si rigoureux. Papy et mamie sont arrivés ce matin. Là, pendant qu'ils sont au port, je m'apprête à passer aux fourneaux. J'adore préparer de belles et délicieuses surprises. Pour midi ce sera des avocats mayonnaise avec filets d'anchois sur pain grillé. Laitue en salade pour accompagner les dos de cabillaud blanc que je fais rissoler avec des haricots verts. Haricots verts qu'il me faut encore écosser.
Cet après-midi, ils retourneront au port. Je les accompagnerai. Je vais aider aux préparatifs de départ. Ce soir ce sera une table en terrasse, sous la pergola de notre restaurant préféré. C'est un établissement étoilé recommandé tant par le Gault & Millau que par le guide Michelin. Sur les hauteurs du port. Vue sur l'océan. J'adore ces ambiances très "cosy". Il fait beau et la journée s'annonce chaude. Tout comme celles à venir.
À bientôt
Alors que je passais mes après-midi à bicyclette, à la plage ou encore en balade, mes parents préparaient leur bateau. Ils prennent la mer demain, dimanche, en début d'après-midi. Avec papy et mamie du côté de papa. Une croisière de trois semaines qui les emmènera au large du Portugal puis de l'Espagne. Cadix où ils retrouveront papy et mamie du côté de maman. Ils y possèdent à proximité une adorable petite maison de pêcheur entièrement rénovée. Le retour est prévu pour le dimanche 27 juillet. Je vais donc être seule. Je me réjouis.
J'organise chaque été ces merveilleuses séquences de solitudes avec soin. Tout est programmé. Bien évidemment je laisse des fenêtres d'improvisations dans ce planning qui n'est toutefois pas si rigoureux. Papy et mamie sont arrivés ce matin. Là, pendant qu'ils sont au port, je m'apprête à passer aux fourneaux. J'adore préparer de belles et délicieuses surprises. Pour midi ce sera des avocats mayonnaise avec filets d'anchois sur pain grillé. Laitue en salade pour accompagner les dos de cabillaud blanc que je fais rissoler avec des haricots verts. Haricots verts qu'il me faut encore écosser.
Cet après-midi, ils retourneront au port. Je les accompagnerai. Je vais aider aux préparatifs de départ. Ce soir ce sera une table en terrasse, sous la pergola de notre restaurant préféré. C'est un établissement étoilé recommandé tant par le Gault & Millau que par le guide Michelin. Sur les hauteurs du port. Vue sur l'océan. J'adore ces ambiances très "cosy". Il fait beau et la journée s'annonce chaude. Tout comme celles à venir.
À bientôt
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Deux mois au bord de l'océan - Épisode 6
Seule depuis hier, dimanche
J'ai accompagné mes parents, mon papy et ma mamie jusqu'au port de plaisance. J'ai fait la chauffeur pour les déposer sur le quai. Le bateau, préparé depuis cinq jours, les attendait. La cabine qui fait office de chambre d'amis. La cabine chambre de mes parents. Le salon et la cuisine. Tout est nickel. Ils vont pouvoir s'adonner à leur passion durant trois semaines. Les croisières, surtout aussi longues, ne sont pas du tout mes tasses de thé. Je m'ennuie terriblement dès la fin de la première journée. Je garde de pénibles souvenirs de ces croisières lorsque j'étais petite et surtout adolescente. Alors trois semaines ! Ce serait au-dessus de mes possibilités mentales. L'horreur...
La météo est exactement comme j'aime. Un ciel couvert. Une douceur très agréable. Aucune menace de pluie. J'ai la grosse berline Allemande pour moi toute seule. Je n'utiliserai la Mercedes que pour aller faire les courses au bourg ou à la crié sur le port. Ainsi que la propriété et sa demeure qu'il me faudra entretenir. Ici, pas d'entreprise paysagère pour venir s'occuper du jardin, de la pelouse et du bassin. J'aime bien tondre, assise sur le petit tracteur. Et il y a monsieur Nathan, notre voisin le plus proche, exploitant agricole, qui n'est pas loin. Je me réjouis pour cette nouvelle aventure. J'adore la solitude. Trois semaines à ne m'occuper que de moi. C'est divin !
Ce lundi après-midi je vais aller faire des courses. Remplir le réfrigérateur, remplir le buffet de la cuisine. Je viens de terminer ma petite vaisselle. Je vais dresser la liste de tout ce qu'il ne faudra pas oublier. Je vais utiliser le barbecue électrique de la véranda. Il est extrêmement pratique et se nettoie avec facilité. J'adore y faire griller des moules, des crevettes, du turbo, du colin ou encore de la sole que l'on trouve le plus souvent sur les quais. Comme le port n'est qu'à quatre kilomètres, ce sera un autre bonheur d'y aller à bicyclette le matin. Après le jogging et la douche. L'an dernier, j'y allais même en jogging avec le petit sac sur le dos. Mais au retour c'est un peu désagréable. Ça part en flotte...
À demain pour la suite
A
J'ai accompagné mes parents, mon papy et ma mamie jusqu'au port de plaisance. J'ai fait la chauffeur pour les déposer sur le quai. Le bateau, préparé depuis cinq jours, les attendait. La cabine qui fait office de chambre d'amis. La cabine chambre de mes parents. Le salon et la cuisine. Tout est nickel. Ils vont pouvoir s'adonner à leur passion durant trois semaines. Les croisières, surtout aussi longues, ne sont pas du tout mes tasses de thé. Je m'ennuie terriblement dès la fin de la première journée. Je garde de pénibles souvenirs de ces croisières lorsque j'étais petite et surtout adolescente. Alors trois semaines ! Ce serait au-dessus de mes possibilités mentales. L'horreur...
La météo est exactement comme j'aime. Un ciel couvert. Une douceur très agréable. Aucune menace de pluie. J'ai la grosse berline Allemande pour moi toute seule. Je n'utiliserai la Mercedes que pour aller faire les courses au bourg ou à la crié sur le port. Ainsi que la propriété et sa demeure qu'il me faudra entretenir. Ici, pas d'entreprise paysagère pour venir s'occuper du jardin, de la pelouse et du bassin. J'aime bien tondre, assise sur le petit tracteur. Et il y a monsieur Nathan, notre voisin le plus proche, exploitant agricole, qui n'est pas loin. Je me réjouis pour cette nouvelle aventure. J'adore la solitude. Trois semaines à ne m'occuper que de moi. C'est divin !
Ce lundi après-midi je vais aller faire des courses. Remplir le réfrigérateur, remplir le buffet de la cuisine. Je viens de terminer ma petite vaisselle. Je vais dresser la liste de tout ce qu'il ne faudra pas oublier. Je vais utiliser le barbecue électrique de la véranda. Il est extrêmement pratique et se nettoie avec facilité. J'adore y faire griller des moules, des crevettes, du turbo, du colin ou encore de la sole que l'on trouve le plus souvent sur les quais. Comme le port n'est qu'à quatre kilomètres, ce sera un autre bonheur d'y aller à bicyclette le matin. Après le jogging et la douche. L'an dernier, j'y allais même en jogging avec le petit sac sur le dos. Mais au retour c'est un peu désagréable. Ça part en flotte...
À demain pour la suite
A
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Deux mois au bord de l'océan - Épisode 7
Ô douce solitude
J'adore cette météo. La douceur agréable et un ciel nuageux. Pas la moindre goutte de pluie. Je suis allée au bourg voisin ce matin. Le mardi c'est jour de marché. J'apprécie l'ambiance des marchés. Les parfums de grillades. Les odeurs des fruits. Les effluves les plus diverses auxquelles se mêle celles ramenées par la brise de l'océan tout proche. Je peux mettre mes robes d'été. Le seul coton qui me recouvre. Cet intense sentiment de liberté que tout cela suscite. Là, je viens de faire ma petite vaisselle. Je vais rester habillée comme je le suis pour aller en ville cet après-midi. Je porte bien le mauve.
Il n'y a qu'une vingtaine de kilomètres. Il y a la braderie dans les rues piétonnes du centre historique. Là aussi, ce sont des successions de petites surprises. La saison touristique connaîtra son apogée entre le 14 juillet et le 15 août. C'est donc encore viable. Je vais en profiter pour aller à la FNAC. J'ai cassé ma paire de jumelles minuscules hier soir au port. Je vais tenter d'en trouver de nouvelles. Il me les faut toutes petites et hyper grossissantes. J'en profiterai pour aller déguster une de ces glaces aux amandes dont je raffole, spécialitées d'un glacier artisanal aux pieds de la cathédrale.
À bientôt
J'adore cette météo. La douceur agréable et un ciel nuageux. Pas la moindre goutte de pluie. Je suis allée au bourg voisin ce matin. Le mardi c'est jour de marché. J'apprécie l'ambiance des marchés. Les parfums de grillades. Les odeurs des fruits. Les effluves les plus diverses auxquelles se mêle celles ramenées par la brise de l'océan tout proche. Je peux mettre mes robes d'été. Le seul coton qui me recouvre. Cet intense sentiment de liberté que tout cela suscite. Là, je viens de faire ma petite vaisselle. Je vais rester habillée comme je le suis pour aller en ville cet après-midi. Je porte bien le mauve.
Il n'y a qu'une vingtaine de kilomètres. Il y a la braderie dans les rues piétonnes du centre historique. Là aussi, ce sont des successions de petites surprises. La saison touristique connaîtra son apogée entre le 14 juillet et le 15 août. C'est donc encore viable. Je vais en profiter pour aller à la FNAC. J'ai cassé ma paire de jumelles minuscules hier soir au port. Je vais tenter d'en trouver de nouvelles. Il me les faut toutes petites et hyper grossissantes. J'en profiterai pour aller déguster une de ces glaces aux amandes dont je raffole, spécialitées d'un glacier artisanal aux pieds de la cathédrale.
À bientôt
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Deux mois au bord de l'océan - Épisode 8
Du bon temps
La seconde journée à me vautrer dans ma merveilleuse solitude. Ce matin, j'étais à l'hypermarché. Quinze kilomètres jusqu'à la zone commerciale de la ville. La saison touristique doit représenter une manne financière conséquente pour ces grandes enseignes du bord de l'océan. Comme je n'ai pas trouvé la paire de jumelles à la FNAC, hier après-midi, j'ai tenté une autre formule. J'ai bien fait. Dans la galerie commerciale, il y a une boutique "Nature et Découvertes". J'y ai trouvé l'objet de mes convoitises. Une paire de jumelles Bosco C9 12x42. Le must. Elle tient dans une pochette en bandoulière. Mon ancienne paire, cassée dimanche sur les quais du port, ne grossissait que huit fois alors que la nouvelle grossit douze fois. Je vais pouvoir en tester les qualités cet après-midi puisque je pars pour une de mes expéditions vélo.
Je retourne à la FNAC demain après-midi car l'écrivain Philippe Pascot vient y dédicacer son nouvel ouvrage "Pilleur d'État". Une enquête édifiante sur la corruption invraisemblable qui règne au plus haut sommet du macronisme. Un pouvoir aux abois et acculé à tel point qu'il semblerait que l'Élysée ferait "suicider" ceux qui dénoncent ses turpitudes. Le dernier "suicidé" en date est le député Olivier Marleix. Je me réjouis de rencontrer cet homme, Philippe Pascot. Cet homme est le président de l'association "anticor" (anticorruption). J'apprécie les hommes courageux qui osent dénoncer malgré les menaces de morts dont il font l'objet de la part des corrompus.
À bientôt
PS
Ci-dessous le lien d'une vidéo que je recommande. On peut très bien s'occuper à autre chose en écoutant. On y découvre Philippe Pascot et c'est édifiant...
https://www.youtube.com/watch?v=H_0vft2Od6A
La seconde journée à me vautrer dans ma merveilleuse solitude. Ce matin, j'étais à l'hypermarché. Quinze kilomètres jusqu'à la zone commerciale de la ville. La saison touristique doit représenter une manne financière conséquente pour ces grandes enseignes du bord de l'océan. Comme je n'ai pas trouvé la paire de jumelles à la FNAC, hier après-midi, j'ai tenté une autre formule. J'ai bien fait. Dans la galerie commerciale, il y a une boutique "Nature et Découvertes". J'y ai trouvé l'objet de mes convoitises. Une paire de jumelles Bosco C9 12x42. Le must. Elle tient dans une pochette en bandoulière. Mon ancienne paire, cassée dimanche sur les quais du port, ne grossissait que huit fois alors que la nouvelle grossit douze fois. Je vais pouvoir en tester les qualités cet après-midi puisque je pars pour une de mes expéditions vélo.
Je retourne à la FNAC demain après-midi car l'écrivain Philippe Pascot vient y dédicacer son nouvel ouvrage "Pilleur d'État". Une enquête édifiante sur la corruption invraisemblable qui règne au plus haut sommet du macronisme. Un pouvoir aux abois et acculé à tel point qu'il semblerait que l'Élysée ferait "suicider" ceux qui dénoncent ses turpitudes. Le dernier "suicidé" en date est le député Olivier Marleix. Je me réjouis de rencontrer cet homme, Philippe Pascot. Cet homme est le président de l'association "anticor" (anticorruption). J'apprécie les hommes courageux qui osent dénoncer malgré les menaces de morts dont il font l'objet de la part des corrompus.
À bientôt
PS
Ci-dessous le lien d'une vidéo que je recommande. On peut très bien s'occuper à autre chose en écoutant. On y découvre Philippe Pascot et c'est édifiant...
https://www.youtube.com/watch?v=H_0vft2Od6A
J'aime être vue au point d'en oublier de voir
Deux mois au bord de l'océan - Épisode 9
Running sur la plage
Il fait tellement beau ce matin. Après mon petit déjeuner, en tenue, je suis partie à bicyclette jusqu'au port. Bicyclette fermée à cadenas derrière la capitainerie. Je descends l'escalier pour me retrouver sur la plage. C'est le long des vagues de la marée montante que je pratique mon running matinal et quotidien. Une heure d'un jogging gratifiant avant de revenir à la maison. La douche. Une de mes robes d'été, fuschia à discrets motifs floraux pastels. Je vais arroser les rosiers. Je bavarde un peu avec monsieur Nathan, notre plus proche voisin. Il passe sur son tracteur le long du muret du jardin. Cet homme a la simplicité et la logique des gens de la campagne. J'adore.
Je viens de déguster des moules grillées sur le barbecue électrique de la véranda. Accompagnées de fines tranches de pommes de terre grillées en chips. Le tout avec des crudités, radis et poivron rouge et des olives noires. Cet après-midi, c'est à bicyclette que j'irai en ville. Une vingtaine de kilomètres par la piste cyclable. Je vais aller faire dédicacer le dernier livre de Philippe Pascot "Pilleur d'État". Je ne rate jamais ses vidéos sur YouTube et surtout sur Odyssée où elles ne sont pas censurées. Alors de le rencontrer physiquement à la FNAC me rend fébrile. Je ne m'y attarderai pas car je veux me faire un mini golf en fin d'après-midi.
Il fait tellement beau ce matin. Après mon petit déjeuner, en tenue, je suis partie à bicyclette jusqu'au port. Bicyclette fermée à cadenas derrière la capitainerie. Je descends l'escalier pour me retrouver sur la plage. C'est le long des vagues de la marée montante que je pratique mon running matinal et quotidien. Une heure d'un jogging gratifiant avant de revenir à la maison. La douche. Une de mes robes d'été, fuschia à discrets motifs floraux pastels. Je vais arroser les rosiers. Je bavarde un peu avec monsieur Nathan, notre plus proche voisin. Il passe sur son tracteur le long du muret du jardin. Cet homme a la simplicité et la logique des gens de la campagne. J'adore.
Je viens de déguster des moules grillées sur le barbecue électrique de la véranda. Accompagnées de fines tranches de pommes de terre grillées en chips. Le tout avec des crudités, radis et poivron rouge et des olives noires. Cet après-midi, c'est à bicyclette que j'irai en ville. Une vingtaine de kilomètres par la piste cyclable. Je vais aller faire dédicacer le dernier livre de Philippe Pascot "Pilleur d'État". Je ne rate jamais ses vidéos sur YouTube et surtout sur Odyssée où elles ne sont pas censurées. Alors de le rencontrer physiquement à la FNAC me rend fébrile. Je ne m'y attarderai pas car je veux me faire un mini golf en fin d'après-midi.
J'aime être vue au point d'en oublier de voir
Deux mois au bord de l'océan - Épisode 10
Une partie de mini golf
Ce matin, avec un ciel d'un bleu immaculé, un soleil y régnant en maître, j'ai pratiqué mon running quotidien. Une heure de pur plaisir. Je croise assez souvent les même joggeurs. Notamment cette jeune femme blonde à la plastique avantageuse. Nous nous saluons d'un sourire, d'un petit signe de la main et d'un hochement de tête. Peut-être une vacancière. Après la douche, il est dix heures, vêtue d'une de mes jupettes "tennis" noire, d'un T-shirt blanc, chaussée de baskets, direction le port. À bicyclette. J'y ai acquis de la salicorne et des crevettes. Je vais les faire griller vives sur le barbecue électrique. Pauvres bêtes mais je suis cannibale.
Après le repas, je consulte toujours le site de l'université. Le dossier d'inscription à mon Doctorat est enfin arrivé à destination. Avec le chèque conséquent. Dès la mi septembre je vais repartir pour trois années d'études. Je me réjouis, j'adore l'école. Comme j'apprécie les challenges depuis toute petite, je veux toujours être la première. Et là, pour la préparation du Doctorat, il n'y a plus de classement. C'est moi contre moi. Je vais travailler à ma thèse. C'est donc un travail principalement solitaire et personnel. Nous serons huit étudiants à être drivés par un maître de thèse. Un professeur que j'adore. Là aussi, ce ne sera que successions de plaisirs et de satisfactions.
Quatorze heures. Je prends la voiture pour aller à la FNAC. Je gare toujours l'auto sur le parking du centre Leclerc. Il y a de la place. Dix minutes du centre. Il n'y a pas trop de monde. Philippe Pascot est assis derrière une table à bavarder avec deux jeunes femmes. Des piles de son livre devant lui. Je reste stoïquement debout devant la table. Il me remarque très vite. Je suis plutôt sexy dans ma tenue sport. Je le vois s'impatienter avec les deux bavardes. Il signe leurs ouvrages et s'adresse directement à moi en remerciant les deux jeunes femmes. L'une d'elles me jette un regard acerbe et "orageux". Eh oui, je suis plus jeune et plus belle que toi. Va t-en, vilaine.
Quel plaisir de bavarder avec cet homme cultivé. Connaissant l'histoire de la France. Il m'invite à prendre place sur la chaise à côté de lui. Le coquin n'est pas seulement un érudit, un auteur de talent et un écrivain remarquable, c'est également un séducteur. Il n'est pas réellement beau. Pas du tout mon type d'homme. Mais quel entregent ! Il me fait rire avec quelques anecdotes. Durant sa carrière politique, il a accumulé quantité d'aventures plus étonnantes les unes que les autres. Aventures que notre écrivain relate dans son dernier livre. Il m'en dédicace un exemplaire en rajoutant un mot gentil. Je suis toute rouge. Ce qui l'amuse énormément.
Pour pouvoir m'enfuir, je profère un vilain mensonge. Prétextant que je suis attendue. Je me sens tellement stupide et inculte devant cet homme. Je le remercie en l'assurant d'être frustrée de ne pouvoir rester plus longtemps. De toutes façons, d'autres lecteurs attendent leur tour. Philippe Pascot me souhaite bonne chance pour mon Doctorat. Je paie l'ouvrage à la caisse. En quittant la FNAC, serrant mon livre contre ma poitrine comme une relique, je ris de l'aplomb facétieux de cet homme talentueux. Je retourne à la voiture. Encore sous le charme je prends la direction du bourg. Je suis de retour à la maison pour dix sept heures.
C'est à bicyclette que je vais jusqu'au camping à cinq kilomètres. J'adore m'offrir une partie de mini golf en fin d'après-midi. Il ne fait pas trop chaud et une brise de l'océan tempère agréablement le climat. Il n'y a jamais trop de monde. Je peux effectuer mon parcours sans stress. En jupette, j'attire les regards de ce garçon, là-bas. Il m'adresse un sourire. Je m'accroupis souvent pour récupérer la balle au fond du trou. Acte délibéré. Il semble beaucoup apprécier. Quand soudain arrive une fille blonde. Elle tient deux boîtes de Coca-Cola. A t-elle compris notre petit jeu ? Toujours est-il qu'elle me jette un regard peu avenant en entraînant son copain par le bras. Interrompant carrément sa partie. Je ris de mes exactions "golfiques" en terminant ma partie. Quand on joue seule, on est toujours gagnante.
Ce matin, avec un ciel d'un bleu immaculé, un soleil y régnant en maître, j'ai pratiqué mon running quotidien. Une heure de pur plaisir. Je croise assez souvent les même joggeurs. Notamment cette jeune femme blonde à la plastique avantageuse. Nous nous saluons d'un sourire, d'un petit signe de la main et d'un hochement de tête. Peut-être une vacancière. Après la douche, il est dix heures, vêtue d'une de mes jupettes "tennis" noire, d'un T-shirt blanc, chaussée de baskets, direction le port. À bicyclette. J'y ai acquis de la salicorne et des crevettes. Je vais les faire griller vives sur le barbecue électrique. Pauvres bêtes mais je suis cannibale.
Après le repas, je consulte toujours le site de l'université. Le dossier d'inscription à mon Doctorat est enfin arrivé à destination. Avec le chèque conséquent. Dès la mi septembre je vais repartir pour trois années d'études. Je me réjouis, j'adore l'école. Comme j'apprécie les challenges depuis toute petite, je veux toujours être la première. Et là, pour la préparation du Doctorat, il n'y a plus de classement. C'est moi contre moi. Je vais travailler à ma thèse. C'est donc un travail principalement solitaire et personnel. Nous serons huit étudiants à être drivés par un maître de thèse. Un professeur que j'adore. Là aussi, ce ne sera que successions de plaisirs et de satisfactions.
Quatorze heures. Je prends la voiture pour aller à la FNAC. Je gare toujours l'auto sur le parking du centre Leclerc. Il y a de la place. Dix minutes du centre. Il n'y a pas trop de monde. Philippe Pascot est assis derrière une table à bavarder avec deux jeunes femmes. Des piles de son livre devant lui. Je reste stoïquement debout devant la table. Il me remarque très vite. Je suis plutôt sexy dans ma tenue sport. Je le vois s'impatienter avec les deux bavardes. Il signe leurs ouvrages et s'adresse directement à moi en remerciant les deux jeunes femmes. L'une d'elles me jette un regard acerbe et "orageux". Eh oui, je suis plus jeune et plus belle que toi. Va t-en, vilaine.
Quel plaisir de bavarder avec cet homme cultivé. Connaissant l'histoire de la France. Il m'invite à prendre place sur la chaise à côté de lui. Le coquin n'est pas seulement un érudit, un auteur de talent et un écrivain remarquable, c'est également un séducteur. Il n'est pas réellement beau. Pas du tout mon type d'homme. Mais quel entregent ! Il me fait rire avec quelques anecdotes. Durant sa carrière politique, il a accumulé quantité d'aventures plus étonnantes les unes que les autres. Aventures que notre écrivain relate dans son dernier livre. Il m'en dédicace un exemplaire en rajoutant un mot gentil. Je suis toute rouge. Ce qui l'amuse énormément.
Pour pouvoir m'enfuir, je profère un vilain mensonge. Prétextant que je suis attendue. Je me sens tellement stupide et inculte devant cet homme. Je le remercie en l'assurant d'être frustrée de ne pouvoir rester plus longtemps. De toutes façons, d'autres lecteurs attendent leur tour. Philippe Pascot me souhaite bonne chance pour mon Doctorat. Je paie l'ouvrage à la caisse. En quittant la FNAC, serrant mon livre contre ma poitrine comme une relique, je ris de l'aplomb facétieux de cet homme talentueux. Je retourne à la voiture. Encore sous le charme je prends la direction du bourg. Je suis de retour à la maison pour dix sept heures.
C'est à bicyclette que je vais jusqu'au camping à cinq kilomètres. J'adore m'offrir une partie de mini golf en fin d'après-midi. Il ne fait pas trop chaud et une brise de l'océan tempère agréablement le climat. Il n'y a jamais trop de monde. Je peux effectuer mon parcours sans stress. En jupette, j'attire les regards de ce garçon, là-bas. Il m'adresse un sourire. Je m'accroupis souvent pour récupérer la balle au fond du trou. Acte délibéré. Il semble beaucoup apprécier. Quand soudain arrive une fille blonde. Elle tient deux boîtes de Coca-Cola. A t-elle compris notre petit jeu ? Toujours est-il qu'elle me jette un regard peu avenant en entraînant son copain par le bras. Interrompant carrément sa partie. Je ris de mes exactions "golfiques" en terminant ma partie. Quand on joue seule, on est toujours gagnante.
J'aime être vue au point d'en oublier de voir
Deux mois au bord de l'océan - Épisode 11
Une matinée au port
Comme tous les matins, après mon jogging, après la douche, je pars à bicyclette en direction du port. La criée. C'est un spectacle captivant. On y découvre ces artisans marins pêcheurs qui viennent proposer les fruits de leurs travaux nocturnes. Ces héros passent souvent une grande partie de la nuit à relever les paniers contenant des crustacés. C'est impressionnant de voir ces bêtes énormes dont les pinces sont fixées avec de gros élastiques. Je me suis ramenée des moules. Je les adore grillées. Aujourd'hui avec des haricots verts et des petits pois. Une belle assiette de crudités en entrée. Un petit melon évidé est farci à la glace aux noisettes. (bio)
J'ai mangé dans le jardin. En bikini. Il fait juste chaud comme j'aime avec seulement 24°. Une légère brise de l'océan. J'ai écouté "Le Monde Moderne" sur Youtube. J'apprécie Alexis Poulin et son émission presque quotidienne. Ses informations n'ont strictement rien à voir avec les propagandes putrides des BFM WC, des France Inter, des RTL, des LCI et autres Europe 1. Cet homme a le talent d'emmener les choses avec humour. Les pertinences de ses révélations sont passionnantes.
Cet après-midi, je vais m'enfuir pour une de ces virées à bicyclettes qui m'emplissent d'extases. Il y a un concert au camping ce soir. Je vais aller y faire un tour. C'est un groupe Écossais qui propose un Rock celtique bien musclé. J'adore. Papa conserve dans sa discothèques les disques de ZZ Top, de Led Zeppelin, de Deep Purple ou encore d'AC/DC. Parfois, je m'en fais une cure régénératrice. Je déteste la musique d'ascenseur ou ce rap qu'on nous impose partout.
À bientôt
Comme tous les matins, après mon jogging, après la douche, je pars à bicyclette en direction du port. La criée. C'est un spectacle captivant. On y découvre ces artisans marins pêcheurs qui viennent proposer les fruits de leurs travaux nocturnes. Ces héros passent souvent une grande partie de la nuit à relever les paniers contenant des crustacés. C'est impressionnant de voir ces bêtes énormes dont les pinces sont fixées avec de gros élastiques. Je me suis ramenée des moules. Je les adore grillées. Aujourd'hui avec des haricots verts et des petits pois. Une belle assiette de crudités en entrée. Un petit melon évidé est farci à la glace aux noisettes. (bio)
J'ai mangé dans le jardin. En bikini. Il fait juste chaud comme j'aime avec seulement 24°. Une légère brise de l'océan. J'ai écouté "Le Monde Moderne" sur Youtube. J'apprécie Alexis Poulin et son émission presque quotidienne. Ses informations n'ont strictement rien à voir avec les propagandes putrides des BFM WC, des France Inter, des RTL, des LCI et autres Europe 1. Cet homme a le talent d'emmener les choses avec humour. Les pertinences de ses révélations sont passionnantes.
Cet après-midi, je vais m'enfuir pour une de ces virées à bicyclettes qui m'emplissent d'extases. Il y a un concert au camping ce soir. Je vais aller y faire un tour. C'est un groupe Écossais qui propose un Rock celtique bien musclé. J'adore. Papa conserve dans sa discothèques les disques de ZZ Top, de Led Zeppelin, de Deep Purple ou encore d'AC/DC. Parfois, je m'en fais une cure régénératrice. Je déteste la musique d'ascenseur ou ce rap qu'on nous impose partout.
À bientôt
J'aime être vue au point d'en oublier de voir