Cette peur peut être du à un vécu qui nous a montrer l'amour (ou le manque d'amour) pouvait causer un peut trop de souffrances (enfance difficile, divorce, parents absents et non attentionnés ect ...) ou alors à cause d'une rupture qui nous a causé beaucoup de peine et dont on a eu du mal à se remettre.
Ces deux éléments ne sont toutefois pas toujours nécessaires pour être philophobe, parfois c'est juste dans notre nature de se dire que l'amour est inutile, qu'on souffrira de toute façon, qu'il ou elle nous quittera ou alors que ce ne sera pas réciproque, on fuit les relations sérieuses, on ne veut pas d'attache, on veut juste jouer, jouer avec les sentiments des autres mais sans jamais mettre nos propres sentiments sur la table, pour éviter d’être blessé sans nul doute. Inutile donc de préciser qu’un philophobe amoureux ne l’admettra jamais.
Alors toutes ces grandes lignes pour savoir si vous aussi vous avez quelques histoires de philophobie à nous faire partager. Des histoires qui vous auraient un peu laissées amer face à l'amour et tout ça ...
Personnellement, je pense l’être … Mais c’est étrange, car j’ai toujours voulu savoir ce que ça faisait d’être amoureuse, d’avoir quelqu’un qui se préoccupe de nous et ce genre de chose pourtant dans mon esprit c’est clair et net que ça finira en souffrance malgré tout et la situation dans laquelle je suis actuellement ne fait que me renforcer dans cette idée …
Si je ne suis pas totalement philophobe bha, je crois que je vais le devenir :roll:




