J’espère que des garçons me liront également, car je veux bien vos conseils également
C’est la deuxième fois que je publie un message sur le forum et j’aimerai beaucoup avoir de vos conseils à nouveaux.
Alors j’ai 21 ans et mon amoureux 22 ans. Ça va faire un an qu’on est ensemble et on a vécu une grande partie de notre relation à distance. Il viendra sûrement me voir en février.
Lui est métropolitain et moi des îles, je suis musulmane donc je ne consomme pas d’alcool
et lui est un peu le complet opposé de ce que je suis mais c’est une personne extraordinaire, qui me respecte beaucoup, me donne beaucoup
Au delà de ma culture et ma religion assez conservatrice et restrictive, avoir des enfants tôt c’est ce que j’ai toujours voulu, aujourd’hui je suis engagé dans des études longue donc je ne pourrais certainement pas me permettre d’avoir d’enfants avant mes 30 ans mais je trouve que c’est déjà pas mal… je veux pas attendre plus car j’ai déjà été averti par mes médecins qu’il faudrait que j’en ai assez tôt si j’en veux un jour. Car j’ai eu l’ablation d’un ovaire à cause d’une tumeur de l’ovaire. J’ai des risques d’infertilité donc je vais devoir faire congeler mes ovocytes mais je reste une personne à risque d’infertilité surtout que ça se majore avec l’âge également (et ça pour toute les femmes). Ce que je veux dire c’est que par apport a d’autres je suis déjà partie avec un désavantage.. mais la médecine ne peut pas être certaine.
Quand je lui en ai parlé des le début de notre relation il avait pas l’air réticent à l’idée d’avoir des enfants tôt, enfin 30 ans.. bien qu’il me disait qu’on attendrais quand même un peu. Hier soir je lui en ai reparlé (je sais que c’est tôt mais c’est vraiment important moi d’avoir un partenaire qui sera ok avec ça vous comprenez pourquoi.) et lui me dit qu’on peut attendra 40 ans, pour n’importe quelle femme 40 ans est déjà un âge trop tardif et ma gynécologue m’a déjà averti et il était présent à ce moment la. Il m’a dit que comme je vais faire congeler mes ovocytes ça peut attendre mais je lui ai expliqué ce que je vous ai dis précédemment. Et au delà de ça c’est pas ce que je veux.
Je vais faire 10 ans d’études et j’aimerais voyager beaucoup durant mes études chaque fois que je pourrais, et profiter autant que je peux car on a 20 ans qu’une fois, et me permettre ensuite d’avoir un enfant a 29 ou 30 ans. Sans culpabiliser de pas avoir assez profiter de ma vie.
De plus comme je vous ai dis au début il consomme de l’alcool, fume (bien qu’il essaie d’arrêter), et c’est pas du tout croyant donc quand je lui parle de religion par apport aux enfants si on en a un jour, au début il était ok puis au fur et à mesure ça a été oui mais tu l’es force pas
Puis la barrière culturel, il y a d’autre chose également que je veux pas citer mais qui encore une fois ne colle pas
Il était ok au départ pour qu’on songe à se marier (mariage religieux) pour vivre ensemble, dans deux ou trois ans et puis hier il m’a dit qu’il préférait que ce soit beaucoup plus tard.
Dans un an je déménage, je quitte les îles pour vivre en métropole et continuer mes études j’aurais aimé aménager avec lui mais là j’ai l’impression qu’on va vivre 10 ans sans être à proximité parce que je pense qu’il préfèrera rester chez ses parents plutôt que de vivre seul loin de sa ville, et ça parce qu’on sera pas marier donc on pourra pas vivre ensemble.
Il y a de nombreuses choses pour lesquels au début de notre relation il est était ok ou au mois ouvert à y réfléchir et puis de plus en plus j’ai l’impression que ça se ferme, qu’il est moins ouvert et c’est ça qui me dérange. Donc j’ai besoin d’en parler.
Je veux pas me rendre malheureuse donc ce sont des sujets qui se décide maintenant. Je sais que c’est pas une vie comme ça que je veux.
Je me disait au début que je préférerai être avec lui et qu’importe le reste parce que c’est lui que j’aime mais maintenant je me rend compte que je préfère privilégier la vie dont j’ai toujours rêvé et je me retrouver dans un compromis.
Donnnez moi le fond de vos pensés le plus objectivement possible
Merci à ceux et celles qui répondront.